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LETTRE A L'EPOUSE - RICHESSE
AMERICA ONE NATION UNDER GOD
Les valeurs chrétiennes sont affichées de manières omniprésentes aux Etats-Unis: God bless you, In god we trust( sur le billet vert), god bless America, one nation under god. Les convictions religieuses tiennent une place très importante dans la société américaine. C'est vrai depuis deux siècles. C'est encore plus vrai aujourd'hui. Sur ces convictions repose la défense des valeurs morales. On constate que le nombre de pasteurs évangéliques est de plus en plus important dans le sud des Etats-Unis et ailleurs. Ils ont voté en masse et largement contribué au succès de George W. Bush.
Les valeurs chrétiennes sont affichées de manières omniprésentes aux Etats-Unis. Les convictions religieuses tiennent une place très importante dans la société américaine. C'est vrai depuis deux siècles. C'est encore plus vrai aujourd'hui. Sur ces convictions repose la défense des valeurs morales. On constate que le nombre de pasteurs évangéliques est de plus en plus important dans le sud des Etats-Unis et ailleurs. Ils ont voté en masse et largement contribué au succès de George W. Bush.
Depuis les premiers jours de la colonisation par les pèlerins du Mayflower, qui sont considérés comme les premiers colons fondateurs des futurs Etats-Unis d'Amérique, ce pays se considère comme un pays élu par Dieu. Les Pères Pèlerins qui embarquent en septembre 1620 à Plymouth sur le Mayflower (ou Fleur de Mai), un voilier de 180 tonneaux ambitionnent de créer une «Nouvelle Jérusalem» en Amérique et c’est cette idée qui restera dans l’imaginaire américain. La première année, la famine et la maladie ont raison de nombreux colons. Les survivants doivent leur survie aux dindes sauvages et au maïs fourni par les Indiens. C'est ainsi que leur chef, William Bradford, organise une journée d'action de grâce en novembre 1621. C'est le premier «Thanksgiving Day» qui se renouvellera chaque année en Nouvelle-Angleterre avant que le président Abraham Lincoln ne l'érige en fête nationale en 1863. De nos jours encore, chaque 4e jeudi de novembre, les familles des États-Unis savourent de la dinde aux airelles avec des patates douces et de la tarte au potiron au dessert. La démocratie locale et l'esprit de tolérance nés de la cohabitation de différentes communautés de réfugiés dont les Pères Pèlerins sont devenus le trait caractéristique des institutions nord-américaines. C'est pourquoi le souvenir du Mayflower reste encore si vif aux États-Unis et au Canada.
Il est plus qu’évident que jamais l’adversaire ne permettra l’émergence d’une nation se bâtissant sur des valeurs bibliques, comme une nouvelle Jérusalem. En fait, le diable fera avec l’Amérique ce qu’il a fait avec Israël, il les mènera vers de faux dieux, ou du moins un faux dieu, Mammon, celui de la richesse, ayant sa religion, le capitalisme et son dogmes, le libéralisme.
Mais pour entraîner une nation entière vers un autre dieu que le Dieu véritable, il faut un chef incontesté, qui lui-même soit soumis à ce faux dieu, un patriote qui incarne les valeurs fondamentales des Etats-Unis. Ce chef sera George Washington, le héros de la guerre d’indépendance. et Chef d’état-major de l’Armée continentale. Il participe à la rédaction de la Constitution et fait l’unanimité lors du choix du premier président des États-Unis. Pendant ses deux mandats, de 1789 à 1797, il sera un administrateur habile et conscient de l’importance de chacune de ses décisions. Il lui reviendra de faire fonctionner le premier gouvernement et de créer des précédents là où la Constitution n’est pas explicite.
Considéré comme un héros national par les Américains, de nombreux hommages lui ont été rendus. Son nom a été donné à la capitale des États-Unis, à un État et à de nombreux sites et monuments. Son effigie figure sur le billet de 1 $ et sur la pièce de 25 cents. En 1792, le ministère des finances lance un emprunt auquel Washington souscrira. Les actions sont exprimées en dollars et le signe $ y apparaît pour la première fois.
Son anniversaire est un jour férié fédéral. Il peut être considéré comme le Père de la nation.
One nation under god
En 1752, à 20 ans, George Washington devient franc-maçon puis maître-maçon un an plus tard. C’est donc conduit par l’esprit maçonnique que George Washington conduira la révolution américaine vers l’indépendance. Initié Franc-Maçon, le 4 novembre 1752, à "Fredericksburg Lodge", Virginie, les nouveaux Présidents des Etats-Unis prêtent sermon sur la Bible même qui servi à cette occasion. En 1779, la loge "American Union" organise une Grande Loge Nationale avec Washington comme Grand Maître. Le 28 avril 1788, il devient Vénérable de la loge "Alexandria 39" qui sera connue dès 1805 sous le nom "Washington-Alexandria. Sur la gravure nous voyons George Washington poser la pierre angulaire du Capitole des Etats-Unis en grande tenu maçonnique, cela revient à poser le fondement d’une république maçonnique. Le tablier et la ceinture portés par George Washington ainsi que la truelle qu'il a utilisée sont aujourd'hui préservés dans la loge maçonnique d'Alexandrie à Washington.
La déclaration d'indépendance fut rédigée et signée presque exclusivement par des francs-maçons. George Washington et la plupart de ses généraux étaient des francs-maçons. C'est un fait que les Etats-Unis, aujourd'hui, n'existeraient pas sans la présence active des francs-maçons.
Benjamin Franklin a été à la fois un homme de sciences et de lettres, un grand inventeur mais aussi le premier ambassadeur des États-Unis et un des artisans de l'indépendance américaine. Il est devenu membre en février 1731 de la loge de Saint-Jean à Philadelphie, l'une des premières loges maçonniques en Amérique. En mai 1732, il publiait "Constitutions of Free Masons" de Anderson, ceci constituait le premier livre maçonnique publié en Amérique. Le 24 juin 1732, il devint grand maître de la loge de Saint-Jean. De 1735 à 1738, il fut secretaire de la loge et le 10 juin 1749 il fut élu grand maître de la province. L'année suivante, il cédait ce poste et devint grand maître adjoint. Il joua un rôle actif dans la construction du premier temple maçonnique en Amérique. En visite à Boston, il visitait les franc-maçons de la loge Saint-Jean.
En France, il fut intégré en 1777 au mouvement via la Loge des Neufs Soeurs, dont Voltaire fut l'un des membres imminents. Deux ans plus tard, il en fut élu le grand maître. Il etait membres des " lumières " (Voltaire, Rousseau, Diderot, Kant, etc.) un groupe philosophique influent. Il participe aussi à la rédaction de la “Constitution américaine”. Il devient ainsi le seul « père fondateurs de l'Amérique » (founding father) à signer les trois documents fondateurs des USA : la déclaration d'indépendance, le traité de Paris, et la constitution américaine.
On comprend l'importance de la franc-maçonnerie au moment de la révolution américaine lorsque l'on constate que Georges Washington, neuf signataires de la Déclaration d'indépendance étaient maçons et que treize signataires de la Constitution des États-Unis en étaient aussi. Par le biais de la franc-maçonnerie, les Etats-Unis d’Amérique se mettront sous l’autorité occulte du diable pour conduire la politique du pays. Et pour bien marquer sa nouvelle autorité sur cette nation, le diable y apposera son sceau divin, se faisant le dieu tutélaire du pays.
Le 4 juillet 1776, les États-Unis d’Amérique obtinrent leur indépendance et un petit groupe de franc-maçons entreprit de concevoir un sceau pour la nouvelle république composée de treize (13) états coloniaux. Il fallut attendre six ans pour que le sceau soit terminé. Il fut alors adopté officieusement par le Congrès des États-Unis d’Amérique (à prédominance maçonnique) le 19 juin 1782. Ce sceau devait s’appeler « Le Grand Sceau des Etats-Unis d’Amérique ». Il fut coulé en deux plaques métalliques. Ces dernières furent livrées à Thomas Jefferson le 17 juin 1782.
Le Grand Sceau des États-Unis d’Amérique n’est pas ce qu’il semble être : un sceau destiné à représenter la naissance d’un nouvel ordre social à partir des treize États coloniaux. Il est censé représenter une nation de Chrétiens, la liberté, la force et la paix. À la surface, il peut sembler représenter tout cela, bien sûr, mais il recèle beaucoup d’autres sens qui ne sont pas seulement secrets, mais sinistres et anti-chrétiens. Pour le prouver, nous allons expliquer le symbolisme du sceau.
Afin d’éviter une certaine confusion dans les esprits, il convient de rappeler les notions de symbole et emblème. Le symbole est un signe qui exprime une idée, un concept, une notion, alors que l'emblème est un signe qui dit l'identité d'une personne ou d'un groupe de personne . En tant que personne morale, institutionnelle, constituée de plusieurs millions d'habitants, les Etats-Unis ont surtout des emblèmes. Mais en tant qu'entités abstraite, représentant telle idée, tel programme, elle a aussi des symboles.
Le pygargue à tête blanche est l’emblème des Etats-Unis mais sa symbolique est tout autre. Les mystères pour rester des mystères réservés à certain initiés se doivent de rester cachés. L’emblème n’étant souvent que le verni qui cache le symbole.
La définition du mot symbole, appliquée à l'image monétaire, pourrait donc être la suivante : une marque de reconnaissance entre deux parties - le pouvoir émetteur et le public -, un signe exprimant une idée, un concept, qui nous vient du passé et que l'on possède par notre culture.
La face du Grand Sceau des États-Unis représente l' aigle impériale. L"aigle" est masculin quand il désigne l'oiseau, mais quand il est utilisé au figuré ou qu'il désigne une décoration représentant l’aigle, il est féminin, comme lorsque l'oiseau femelle désigne, les enseignes, les étendards, les armoiries, un billet de banque ou un sceau ! En héraldique, l'aigle est donc une aigle.
Issue de l'aigle romaine, restituée par Charlemagne, elle devient le symbole de l'empire, et gagne même une deuxième tête au moment de la fusion entre l'Empire d'Orient et l'Empire d'Occident. Elle représente la reconstitution de l’empire romain,
Par l'attitude majestueuse et l'aspect sacré de l'aigle porteuse de l'éclair, l'oiseau favorite du grand dieu Zeus/Jupiter. Zeus de la racine indo-européenne dyēus, dieu du ciel, est le roi des dieux dans la mythologie grecque. Il règne sur le Ciel et a pour symbole l'aigle. L’aigle comme symbole de Zeus/Jupiter représente la toute puissance et devient l'emblème général des légions militaires romaines, ²Signa militaria², présent sur les étendards et enseignes militaires. Sous ce titre, on comprenait l'aigle (aquila), qui était l'enseigne commune de toute la légion, une légion s'appelant même pour cela parfois l'aquila.
L’aigle symbole de la toute puissance divine de l’empire, de l’empereur et de l’armée romaine nous renvoie spirituellement à la triade capitoline, (Jupiter, Junon, Minerve) qui synthétise la foi païenne des romains. Par syncrétisme nous pouvons fondre les attributs divins de ces dieux afin d’en faire ressortir les principaux caractères.
Jupiter vient probablement d'une altération de Jupaterus, Ju- pater, littéralement « Père des cieux », de la racine indo-européenne Dyēus patēr ("dieu du ciel", "dieu suprême") représenté par un aigle et que l’on peut associer à sa parèdre Junon la reine du ciel. Ils représentent le principe de la divinité suprême. Comme l’aigle est une aigle qui représente le principe de l’élévation au-dessus de tout et de tous, elle renvoie de fait à la reine du ciel.
Esaï 14 :12 Te voilà tombé du ciel, Astre brillant, fils de l'aurore! Tu es abattu à terre, Toi, le vainqueur des nations! 13 Tu disais en ton cœur: Je monterai au ciel, J'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu; Je m'assiérai sur la montagne de l'assemblée, A l'extrémité du septentrion.
Comme on le voit, les images restent toujours associées aux principes de base énoncés dans la Parole de Dieu.
Cela se confirme avec Minerve la dernière figure de la triade capitoline. Minerve est L’Athéna grec déesse de la guerre, ses attributs sont entre autres, la chouette et l’olivier qu’elle offrit à l’Attique. Elle était l'enfant préférée de Zeus Outre la redoutable égide, il lui confiait son bouclier et la foudre, son arme dévastatrice.
Tétradrachme d'argent Tête d'Athéna avec des feuilles d'olivier sur le casque Revers: chouette, rameau d'olivier, croissant de lune Vers 460-450 avant JC
Le bouclier les armes et l’olivier sont les attributs divins d’Athéna, la déesse est ainsi représentée dans le Parthénon d’ Athènes L'Athéna Parthénos (la Vierge) était une statue chryséléphantine (d'ivoire et d'or sur bois) d'environ 12 mètres de hauteur, réalisée par Phidias avant 438 avant Jésus-Christ et dédiée à l'intérieur du Parthénon. La déesse casquée portait une égide en peau de chèvre ornée de la tête de la gorgone Méduse (gorgonéion). Elle tenait une Niké dans sa main droite (personnification ailée de la Victoire), une lance (l’arme) et un bouclier de la main gauche, à l'intérieur duquel on pouvait apercevoir le serpent Erichthonios.
Quand à l’olivier Selon la légende de Cécrops, Athéna et Poséidon se sont disputés la possession de l'Attique. Ils choisissent comme arbitre Cécrops, le premier roi du territoire. Poséidon frappe l'Acropole de son trident et en fait jaillir une source d'eau salée. Athéna, elle, offre un olivier. Cécrops juge le présent de la déesse bien plus utile pour son peuple, et c'est elle qui devient protectrice d'Athènes.
Comme déesse de la guerre Athéna nous renvoie à la déesse babylonienne Inanna/Ishtar, d’autres reines du ciel et de la guerre mésopotamiennes. Athéna était avant tout la déesse de la Cité, la protectrice de la vie civilisée, de l'artisanat et de l'agriculture. Elle est le principe de civilisation.
De l’aigle (au féminin) au triptyque athénien, le sceau des Etats-Unis devient celui de la reine du ciel. Nous avons ici un magnifique exemple d’inversion totale de valeurs, qui est une réponse métaphorique et sémiologique au chapitre 7 de l’Apocalypse.
Apocalypse 7:2 Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant; il cria d’une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer,
7:3 (7-2) et il dit: (7-3) Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu’à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu.
7:4 Et j’entendis le nombre de ceux qui avaient été marqués du sceau, cent quarante-quatre mille, de toutes les tribus des fils d’Israël:
Nous avons déjà vu comment le diable cherche à se superposer aux valeurs du Dieu véritable, le soleil du matin et maintenant le sceau apposé sur le front (la conscience, l’âme) d’une nation élue. Cette imitation diabolique du plan divin pour la fin des temps donnera naissance à une nouvelle Babylone économique, monétaire et militaire, que représente les Etats-Unis d’Amérique. Mais attention, il ne s’agit pas de la Grande Prostituée décrite dans l’Apocalypse, car à ce stade nous ne sommes qu’en partit dans la vérité, il reste encore beaucoup de chemin à parcourir pour avoir une notion exacte et complète du livre écrit par l’apôtre Jean. Poursuivons donc !
Comme les choses les plus évidentes sont celles qui sont le plus visible, j’appliquerais ce principe au sceau des Etats-Unis. Le sceau étant rond, il représente le soleil, la lumière, helel, l’astre brillant.
Ne nous étonnons donc pas que les plus grandes loges maçonniques aient une connotation spirituelle avec cette symbolique occulte qui se retrouve dans le nom des plus grands ordres comme : l'Eastern Star (l'Étoile d'Orient) ou le Grand Orient, qui renvoient à l’étoile du matin et à l’Etoile Flamboyante maçonnique.
L’étoile flamboyante est une des marques occultes la plus représentée dans la symbolique maçonnique et bien sûr elle figure en bonne place sur le sceau des Etats-Unis, juste au-dessus de l’aigle. "L’Etoile Flamboyante" n’est qu’une des nombreuses variantes de la fausse traduction, étoile brillante ou Lucifer d’Esaïe 14. L’Etoile Flamboyante maçonnique représentée sur le grand sceau des Etats-Unis prend ici une portée très particulière, car d’habitude les maçons y représentent un pentacle, mais ici l’étoile est un hexagramme qui reprend le sceau de Salomon, comme la représentation du Sceau de Salomon sur une voûte de synagogue de Galilée (III-IVe siècle) sur la photo ci-contre.
Comme la révélation du nom véritable de satan, Lilith ne peut être possible que pour les hébraïsants, il en va de même pour l’Etoile Flamboyante en forme d’hexagramme.
Sur le sceau l’aigle tient dans son bec un ruban avec cette inscription latine : E Pluribus Unum, « De plusieurs, un ». On pourrait considérer ceci comme le verbe du dieu représenté sur ce sceau, son oracle. Pour comprendre le sens caché de ces paroles il faut les mettre en parallèle avec ceux de la Bible.
Le nom hébreu pluriel Elohim indique que le vrai Dieu est une pluralité dans l'unité et non une personne unique. Comme l’indique le premier verset de la Genèse : "Au commencement Dieu créa les cieux et la terre. Béréshit bara Elohim hachamaïm vé haérétz." Le mot Elohim traduit par Dieu est un pluriel, mais le verbe "créa" est au singulier. Il indique que le vrai Dieu est une pluralité dans l'unité et non une personne unique. C'est ce que confesse, souvent sans le savoir, tout Juif qui récite: Schma Israël, Adonaï Elohinou Adonaï Ehad. Ce qui littéralement se traduit: "Ecoute, Israël, l'Eternel nos Dieux est un Eternel UN." Quiconque admet que la Bible est la Parole de Dieu ne pensera que le fait de trouver trois fois le nom de Dieu dans cette phrase, deux fois au singulier et une fois au pluriel soit sans importance ou sans signification! D'autre part, il est intéressant de remarquer qu'il n'est pas dit: "l'Eternel notre Dieu est un Dieu unique", mais plutôt "un Dieu UN." Unique en hébreu est Yahid, ici il y a Ehad, UN.
Ce même mot que Dieu emploie lorsqu'il dit: C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une chair UNE (ehad). Le mystère de la pluralité de Dieu dans l'unité est évidemment bien au-delà de celui de l'unité entre homme et femme dans un mariage, cependant Dieu n'emploie aucun mot au hasard dans sa Parole et nous incite ainsi Lui-même à méditer ce rapprochement. Cela devient encore plus vrai quand ce mot devient le nom de Dieu Lui-même.
Zacharie 14:9 L'Éternel sera roi sur toute la terre; En ce jour-là, l'Éternel sera un et son nom sera un.
L’Eternel sera roi sur toute la terre. L’Eternel sera alors un (ehad) et son nom un (ehad).
La valeur numérique de ehad, אחד = UN est 13. Ce nombre est le résultat de l’addition du chiffre de l’homme 6 et celui de Dieu 7. Unis dans le même Esprit ils sont un, EHAD, אחד = 13.
C’est ce que l’apôtre Jean explique en parlant de Jésus-Christ. Ne de l’Esprit-Saint de Dieu le Père, Jésus est Dieu fait homme de chair.
Jean 1 : 14 Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.
Les 13 lettres de l’expression latine E Pluribus Unum, « De plusieurs, un », renvoient donc parfaitement par leur nombre et leur sens à l’unité divine. Cette expression sortant de la bouche du diable qui ici joue le rôle de Dieu, peut être traduite ainsi : Comme Elohim, j’ai de multiple faces, mais je suis UN dieu. Comme la triade capitoline, (Jupiter, Junon, Minerve) symbolisé par l’aigle, je suis UN. Ainsi les 13 feuilles de la branche d’olivier et les 13 fruits, unis avec les 13 bandes de l’écu et les 13 flèches, sont l’expression multiple d’un dieu qui se veut être UN, visible sous le seul signe de l’aigle. Mais pour être l’égale de Dieu, le diable doit en avoir les attributs divins, soit être un Père, l’aigle, avoir un Esprit, le souffle ou le verbe qui sort de la bouche de Dieu, c’est la parole qu’il tient dans son bec, et un Messie, soit un oint, c’est la branche d’olivier. La triangulaire mystique divine est ainsi insidieusement recomposée dans le grand sceau des Etats-Unis. C’EST UN BLASPHEME.
Mais le Seigneur ne recherche pas uniquement l’unité avec Lui-même, mais avec son peuple, son Eglise, son Epouse. Quand l’Esprit-Saint de Dieu repose sur son Epouse alors l’union divine devient totale dans toute sa perfection. C’est le sens que veut également donner l’Etoile Flamboyante sous la forme du sceau de Salomon.
L’étoile de David exprime l’union du peuple d’Israël avec Dieu. Du mariage du ciel avec la terre, ou de l’Epoux et de l’Epouse, Christ et son Eglise. C’est le symbole des deux triangles mêlés, l’un tourné vers le haut et l’autre vers le bas. Cela devient encore plus évident avec la pyramide sur le revers du sceau. Elargie au Grand Sceau des Etats-Unis d’Amérique le principe représente une version satanique de la tri-unité divine représentée par le Père, le Fils et le Saint-Esprit que l’on peut schématiser par le triangle divin pointant vers le bas et repris dans le sceau sous la forme de la triade capitoline que représente l’aigle jupitérien. Le triangle vers le haut symbolise le peuple Elu, L’Epouse chez les chrétiens, et dont les symboles, flèches, olivier et étoiles forment les attributs.
Sur le revers du sceau, le symbole de base qui s’impose est la pyramide surmontée de ²l’œil qui voit tout², des symboles maçonniques très répandus. Ce qui l’est moins c’est la traduction spirituelle réelle de ces symboles. Pour cela il convient de rester dans l’idée de base général qui marque le grand sceau des Etats-Unis, soit la copie biblique des grands principes divins, afin de parachever l’inversion des valeurs chrétiennes au profit de satan.
Les Pères Fondateurs ont toujours cru que la fondation de l'Amérique était un projet construit sur les bases inspirées par le ²Grand Architecte². En fait, c'est exactement ce que signifie le symbole de "l'œil qui voit tout", ou ²œil d'Horus², au sommet de la pyramide, qui représente le principe du dieu créateur uni à son peuple dans un seul corps. Il est la tête et la pyramide est le corps éclairé par sa gloire. Horus, dont le nom signifie probablement ²Celui qui est au-dessus² , est le faucon céleste dont l’œil droit est le soleil, À Héliopolis, Horus était vénéré en tant que Horahkty (horizon), l’Horus de l’Horizon, concurremment avec Rê. Par un syncrétisme fréquent dans la religion égyptienne, Horakhty finit par fusionner avec Ré, sous la forme de Rê-Horakhty, pour devenir le " dieu du soleil se levant à l'horizon", en hébreu on dirait helel ben shakar… Cette symbolique n’est pas le fruit du hasard, elle est blasphématoire, car reprise de la Bible.
Apocalypse 21: 1 Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’était plus. Et je vis descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse qui s’est parée pour son époux.
10 Et il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne. Et il me montra la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel d’auprès de Dieu, La ville avait la forme d’un carré, et sa longueur était égale à sa largeur. Il mesura la ville avec le roseau, et trouva douze mille stades; la longueur, la largeur et la hauteur en étaient égales.
23 La ville n’a besoin ni du soleil ni de la lune pour l’éclairer; car la gloire de Dieu l’éclaire, et l’agneau est son flambeau.
Une ville de base carrée éclairée sur toutes ses faces ne peut être que pyramidale, la Jérusalem Céleste est donc une ville gigantesque de forme pyramidale éclairée à son sommet par Dieu Lui-même, Jésus-Christ, le soleil de justice. Cette ville pyramidale représentant l’Epouse est désormais unie à Dieu, ils sont UN. C’est le principe repris par les maçons en représentant la ville avec 13 degrés surmontée par les 13 lettres des mots latins annuit coeptis (annonce la conception). D’ailleurs l’ensemble de l’oracle luciférien du recto du grand sceau en dit long sur les intentions du diable.
Les mots latins annuit coeptis (annonce la conception) novus ordo seclorum (du nouvel ordre des siècles ou âges) est l'expression reprise du quatrième Eclogue de Virgil, qui contient le passage suivant :
Aetas de carminis d'iam de venit d'Ultima Cumaei ;
ordo de nascitur de saeclorum d'integro du magnus ab.
redit d'iam et Vierge, regna de Saturnia de redeunt,
alto de demittitur de caelo de progénitures de nova d'iam.
"la dernière prophétie est venue à la Sibyl de Cumaean, un ordre nouveau des âges est né ; pour maintenant la Vierge et l'âge de Saturne sont retournés ; maintenant un nouvel enfant a été envoyé des cieux."
Le mot seclorum ne signifie pas "séculaire", comme on pourrait le supposer, mais c’est la forme plurielle (possessive) du génitif de saeculum, mot signifiant (dans ce contexte) la génération, le siècle, ou l'âge. Ainsi la devise Novus Ordo Seclorum peut être traduite comme "nouvel ordre des âges².
Pour bien comprendre l’oracle de ce sceau, il convient de le replacer dans son contexte initial, soit le poème de Virgil. Sur le recto du sceau le diable révèle ce qu’il veut être, et au verso ce qu’il veut faire.
La dernière oracle de la Sibyl (prêtresse ou pythie) annonce un âge nouveau. Maintenant nous retournons dans cet âge, celui de la Vierge (Athéna) et Saturne (Jupiter renversa Saturne son père, qui descendit régner sur le Latium, donnant l’âge d’or de Rome). Traduction : renverser Dieu le Père provoquera un nouvel âge d’or romain.
Maintenant une nouvelle semence (fils, enfant) est envoyé par la reine du ciel. Tout un programme…
Avec une incroyable audace, le diable nous annonce lui-même la venue d’un antéchrist, et il enfonce bien le clou afin que les choses soient bien claires en le gravant en chiffre romain sur la pyramide.
Au premier étage de la pyramide est inscrite en chiffres romains l'année 1776, MDCCLXXVI, qu'il divise d'abord en trois groupes, "MDC", "CLX" et "XVI", puis en sous groupes, "M.DC", "C.LX" et "X.VI". En regroupant les sous groupes ensemble, il obtient "MCX" et "DCLXVI", ce qui représente 1110 et 666. Mais si on utilise le système sexagésimal - base 60, utilisé anciennement par les babyloniens - au lieu du système décimal - base 10 - 1110 se transforme en 666, c'est-à-dire 1110 multiplié par 100 et divisé par 60. Ainsi DCLXVI donne 666 dans la base décimale et MCX donne 666 aussi mais dans la base sexagésimale babylonienne.
Les Etats-Unis sont donc une nouvelle Babylone impériale, bâtit par les franc-maçons.
Les franc-maçons signent l’œuvre de leur ordre au verso du sceau en le cryptant de manière symbolique dans le sceau de Salomon, un sceau dans le sceau en quelque sorte. En prenant les lettres que pointe l’hexagramme vous obtenez l’anagramme de MASON, qui est le mot anglais pour maçon en français. L’oracle ne peut être comprise qu’en brisant symboliquement les sceaux, le principe est repris de l’Apocalypse.
Apocalypse 5 : 1 Puis je vis dans la main droite de celui qui était assis sur le trône un livre écrit en dedans et en dehors, scellé de sept sceaux.
2 Et je vis un ange puissant, qui criait d’une voix forte: Qui est digne d’ouvrir le livre, et d’en rompre les sceaux?….
….9 Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant: Tu es digne de prendre le livre, et d’en ouvrir les sceaux; car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation;
10 tu as fait d’eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu, et ils régneront sur la terre.
Selon le principe des inversions des valeurs bibliques cher aux franc-maçons, ces versets signifient que si Lucifer te choisit pour te donner la clé de lecture des sceaux désormais brisés, alors tu sera appelé avec lui à régner sur toute la terre. Les francs-maçons comme peuple élu par le diable, ont donc pour mission d’accomplir comme une mission divine, les oracles de satan, soit dominer le monde pour y diffuser ses valeurs en son nom.
On peut légitimement s’interroger sur l’origine des symboles égyptiens repris par les francs-maçons. Pour beaucoup ils en ignorent le sens, mais chez les lucifériens des hauts grades il en va tout autrement. Prenons l’exemple de la pyramide qui donne un signale fort quand à son orientation spirituelle.
La civilisation égyptienne est la seule qui permit à satan de s’exprimer par des monuments grandioses à sa gloire.
Le Sphinx avec son corps de lion et sa tête d’homme représente symboliquement les deux extrémités du zodiaque, le lion et le verseau. Il pointe directement vers la grande pyramide, représentation architectural monumental de la Jérusalem céleste, la grande montagne de Dieu, la ville à la base carré et éclairée sur toutes ses faces, que satan veut faire sienne. L'uræus qui coiffe le Sphinx est le signe du cobra femelle principalement incarnée par Ouadjet fille de Ré ou la déesse Ouret-Hékaou. Dans la mythologie égyptienne, l'uræus est encore l'œil de Rê sa fille le soleil, soit une déesse solaire. Ainsi la fille du soleil va personnifier son œil. L’œil finira sa course solaire en retournant vers son père Ra qui le réintégrera sur son front sous la forme de l'uræus. Ainsi l’œil qui voit tout maçonnique attribué à Horus représente en fait un symbole solaire féminin, comme l’uræus qui est un cobra femelle. La symbolique maçonnique forme on le voit un tout cohérent visant à faire de Lucifer une reine du ciel éclairant une nouvelle Jérusalem, avec le serpent comme soleil éclairant le monde. Le langage sémiologique inscrit dans la pierre du Sphinx est corroboré par les indications astronomiques données dans la pyramide de Kheops.
La constellation du Dragon serpente entre les deux Ourses, facilement reconnaissable à son corps effilé et deux fois replié. Regardez-le ramper sur le corps de la Grande Ourse, contourner habilement, et sans mot dire, la petite Ourse.
Thuban : le "Dragon", était l'étoile la plus brillante de la constellation. Vers 3000 avant J.C, c'était elle l'étoile polaire de la planète. Le grand couloir nord de la pyramide de Khéops, construite à cette époque, la visait avec une précision remarquable: moins de 5 minutes de degré entre l'axe du couloir et le passage de l'étoile au méridien.
Derrière les 7 bœufs du septentrion, la Grande Ourse, se profile en fait Thuban, le dragon ou le serpent ancien, le diable, dont la Petite Ourse pointe le symbole, l’étoile polaire, l’axe du monde.
Les Pléiades, il y a 4000 ans passaient par le méridien origine du ciel (0h), et se trouvaient, qui plus est, à la jonction de l'équateur et de l'écliptique (0°). Si bien qu'à l'équinoxe d'automne, elles culminaient à minuit. C'est pour elle que les Egyptiens construisirent le couloir sud de la grande pyramide de Gizeh. Ce jour-là, elles s'enfilaient dans l'étroite ouverture nord et visait avec une précision remarquable, Thuban : le "Dragon".
Le couloir sud en pointant sur les pléiades et le couloir nord sur le dragon, (l’étoile polaire), annonce sans équivoque les intentions du diable. Investir la ville sainte en l’occupant par son peuple, la semence du serpent, puis en chasser Dieu pour prendre sa place sur le trône divin. S’il n’a pas pu le faire dans le ciel, alors c’est certain qu’il tentera sa chance sur terre. C’est à cela d’ailleurs, que le Seigneur fait allusion en Job 38:32 Fais-tu paraître en leur temps les signes du zodiaque, Et conduis-tu la Grande Ourse avec ses petits?
Satan ne renoncera pas, car il est persuadé qu’il est maître de son destin et qu’il peut vaincre l’Epouse et l’agneau et seul la foi peut nous sauver et contrarier ses plans, alors…
Les francs-maçons croient avec ferveur que l'apparition de leur antéchrist maçonnique résultera de leurs efforts à bâtir un nouvel ordre mondial guidé par une Amérique messianique. Nous pouvons donc être certains que le Président Bush lancera au monde un message très clair : toutes ses actions, au cours de ses mandats, seront mises en œuvre pour accomplir cet objectif originel, comme le fit son père et ses pairs avant lui.
Le grand sceau des Etats-Unis est donc un langage sémiologique d’origine maçonnique, dont la traduction pourrait être celle-ci : « Moi, Lucifer, déesse au visages multiples, je vous ai choisi, vous les Etats-Unis d’Amérique comme une terre d’élection, pour en faire une nation élue et guerrière, afin que vous soyez mon peuple et moi votre dieu et que nous ne fassions qu’UN ».
Mais le diable a de l’ambition, une nation élue et un messie ne lui suffit pas, il veut un empire, un nouvel ordre mondial millénariste, dont les Etats-Unis d’Amérique seraient la nouvelle Jérusalem, la copie terrestre de celle que Dieu bâtit dans le ciel. Et c’est encore par le symbole satanique par excellence, le dollar, que le diable va proclamer ses ambitions. Au commencement comme à la fin, la monnaie reste le langage des dieux.
Il va de soit que la monnaie, comme corps des dieux, sur lequel le langage sémiologique divin est développé comme un oracle divin, a au fil des siècle évolué pour aboutir au terme des jours à une forme de perfection satanique du principe monétaire. Ce principe ce retrouve parfaitement dans le billet d’un dollar, la monnaie du dieu par excellence, frappé à l’endroit et l’envers du sceau de satan.
Luc 16:13 Nul serviteur ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l’un et aimera l’autre; ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon.
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