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LETTRE A L'EPOUSE - RICHESSE

 

DE L’ ELEGIE DU ROI DE TYR A LA BABYLONE MODERNE

Comme on l’a vu, la civilisation sumérienne développa les techniques et le commerce qui nécessitèrent de nouveaux outils d’échanges comme le calculi qui par améliorations constantes menèrent à la science du nombre, les mathématiques et du verbe, l’écriture. L’écriture réticulaire étant l’aboutissement  contemporain de cette évolution, comme le commerce du troc évolua en économie globale et financière et ou la monnaie scripturale remplace progressivement la fiduciaire . La monnaie étant devenue invisible sous forme électronique le message visuelle que délivrait les pièces frappées disparaît avec la dématérialisation de la monnaie, mais pas sa relation avec le divin : exemple avec la monnaie de référence internationale le dollar.

DU DIEU DOLLAR - $ - A MAMMON

La monnaie ayant tendance à se dématérialiser de plus en plus sous la forme d’une carte bancaire ou de données informatiques, elle n’apparaît plus que  brièvement à nos regard que lorsqu’on appuie sur la touche $ de son clavier d’ordinateur. La sémiologie monétaire du divin aurait-elle définitivement disparu du monde moderne ? L’or frappé du sceau d’un dieu c’est-il évanoui dans les méandres du passé ? Voyons cela.

L’étalon or

L’or qui entretint des rapports non seulement avec le monde des dieux, mais avec le corps même des dieux ne disparût pas d’un coup des échanges commerciaux modernes quand apparurent les billets de banque. L’or restera lié à cette nouvelle forme monétaire pendant plus d’un siècle et demis sous la forme subtile de la convertibilité de la monnaie en or, on appelle cela l’étalon-or. De cette manière le caractère ²spirituel² de l’or se transmit progressivement au billets de banque qui remplacèrent le corps des dieux antiques. Avec les billets une nouvelle forme sémiotique spirituelle apparaît.

L’étalon-or est un système dans lequel le législateur définit l'unité monétaire par référence à l'or (parité-or). Dans le système classique, l'Etat prescrit que les billets de banque utilisés comme instruments de paiement soient couverts par une certaine quantité d'or et oblige les banques d'émission à les échanger sur demande contre des lingots ou des pièces d'or (libre convertibilité).
La théorie de l'étalon-or classique voulait que la balance des paiements entre Etats s'équilibre automatiquement par afflux et reflux de devises et d'or et, qu'à long terme, la stabilité des taux de change et des prix prévale, la production mondiale d'or s'adaptant à la demande (Evaluation monétaire). Bien que cette régulation automatique attribuée à l'or n'ait fonctionné que partiellement, les économistes, influencés par David Ricardo, considérèrent longtemps qu'elle était le principal garant d'un développement équilibré de l'économie internationale.
Dans le régime de l'étalon de change-or (étalon devises-or, gold exchange standard), on admet, outre l'or, des devises convertibles comme couverture des billets de banque, qui eux-mêmes sont exclus de la libre convertibilité.

La Grande-Bretagne introduisit, en 1821, la première monnaie se référant à l'étalon-or (gold standard), en imposant à la Banque d'Angleterre de rembourser en pièces d'or les billets libellés en livres, tandis que la loi bancaire de 1844, sous le ministère de Robert Peel, prescrivit la couverture-or des billets de banque. L'étalon-or international devint réalité au cours du XIXe s., un nombre croissant d'Etats considérant l'or comme principal instrument de couverture de leur monnaie nationale. Jusqu'à la Première Guerre mondiale, la Grande-Bretagne, en sa qualité de première place financière et commerciale, constituait le noyau du système et disposait d'une grande liberté de manœuvre. Les élites parlementaires britanniques détenaient une bonne partie de leur fortune en titres d'Etat, favorisant ainsi la stabilité des prix.

Au début de la Première Guerre mondiale, l'étalon-or international s'effondra en l'espace de quelques jours. La libre convertibilité fut levée en Suisse, comme ailleurs, afin de surmonter la crise aiguë des paiements. A l'issue de la guerre, une énorme pression inflationniste obligea la Grande-Bretagne à abandonner la convertibilité en or de la livre. La conférence de Gênes de 1922 recommanda aux banques d'émission de recourir, pour la constitution de leurs réserves monétaires, en plus de l'or, à des devises. Seuls la livre sterling et le dollar américain continuaient d'être couverts exclusivement par de l'or; ils jouèrent donc le rôle de principales monnaies de réserve, situation qui procura à la politique monétaire de la Grande-Bretagne et des Etats-Unis une influence internationale considérable.

La vague de dévaluations déclenchée par la Grande-Bretagne en 1931 et les Etats-Unis en 1933 afin de surmonter les problèmes économiques durant la crise économique mondiale mit fin au système monétaire international lié principalement à l'or. Tous les pays du "bloc or", tentèrent de retrouver leur compétitivité internationale en procédant à des dévaluations jusqu'en 1936.
La Deuxième Guerre mondiale ébranla le système financier et les Alliés établirent, en 1944, à Bretton Woods, un nouvel ordre monétaire prenant pour référence le dollar américain.

Visant à rétablir un ordre monétaire international détruit depuis septembre 1931, la conférence monétaire et financière internationale, tenue du 1er au 22 juillet 1944 à Bretton Woods (New Hampshire, Etats-Unis), élabora les chartes du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), consacrant ainsi la suprématie des Etats-Unis (retour à l'étalon de change-or).
La décision principale qui résulte des accords de Bretton Woods est l'abandon de l'étalon-or, adopté avant la première guerre mondiale, au profit de l'étalon change-or ou Gold Exchange Standard. Dans ce cadre, le dollar américain est indexé sur l'or et les devises des autres pays sont indexées sur le dollar américain. Le nouveau système donne une place prépondérante au dollar. Les réserves des Banques Centrales doivent alors être constituées de devises, principalement le dollar et non plus d'or.
Seul le dollar était une monnaie suffisamment forte pour satisfaire la demande internationale croissante en liquidités. La force de l’économie américaine, le taux fixe du dollar par rapport à l’or (35$ l’once) et le fait que ce taux soit garanti par le gouvernement américain rendaient le dollar aussi attractif que l’or. En réalité il était même plus attractif car il produisait des intérêts et était plus flexible d’utilisation que l’or.
La convertibilité du dollar en or fut abandonnée le 15 août 1971 unilatéralement par les États-Unis. Après une période intermédiaire, où l'on tenta de maintenir tant bien que mal des parités fixes, le système des changes flottants fut mis en place le 19 mars 1973.
A la fin de 2003, le dollar US représentait près des 2/3 du total des réserves de change officielles dans le monde, leur montant global a doublé entre 2000 et 2005, de 2 000 à 4 000 milliards de dollar US et ne cesse d’augmenter à cause des déficits croissants avec les pays asiatiques et la montée des prix des matières premières comme le pétrole. Un changement essentiel a eu lieu quand Nixon a déconnecté le dollar des réserves d’or pour le laisser flotter par rapport aux autres monnaies, ce qui n’a plus restreint l’impression de dollars supplémentaires. La seule limite était le nombre de dollars que le reste du monde était prêt à absorber. Par un accord conclu avec l’Arabie saoudite, le plus grand producteur de pétrole de l’OPEP et producteur de compensation («swing producer»), Washington a garanti que le pétrole, matière première la plus répandue au monde, essentielle pour toute économie nationale, base de tous transports et de toute industrie, ne puisse être acheté sur les marchés mondiaux qu’en dollars.

Un nouvel ordre monétaire mondial c’est constitué sous la houlette du dieu dollar.

En son envers, le dollar nous apprend que la monnaie moderne, pour inspirer confiance, doit se référer à une autorité symbolique supérieure, souveraine, au-dessus de l’Etat et donc de la légalité : en l’occurrence, la divinité dans une société fondée sur la religion, comme le sont les Etats-Unis.
Il montre ainsi que, en dernier ressort, la valeur de la monnaie est fondée sur une confiance d’ordre éthique, renvoyant au système général des valeurs qui donnent sa cohérence institutionnelle d’ensemble à une société. Cette confiance éthique surplombe, d’une part, la confiance de type hiérarchique, illustrée sur les billets par les sceaux du Système de réserve fédérale (Federal Reserve System) et du département du Trésor (US Treasury) qui leur confèrent une force légale. A l’aune d’un dollar dont les coupures symbolisent ainsi une alliance fondatrice entre les relations sociales d’ordre public et d’ordre privé, par ailleurs placée sous l’autorité d’un dieu dont la Réserve fédérale et le département du Trésor sont les prêtres.
Ainsi du sceau cylindre sumérien appartenant à une personne physique et unique on passe au sceau de l’Etat, symbole d’une nation, qui pour les Etats-Unis se définie ainsi, ²one nation under god². Mais de quel dieu s’agit-il quand on parle du Dollar, cette monnaie qui règne sur le monde désormais ?

ORIGINE DU NOM DOLLAR

Le mot « dollar » trouve son origine dans le village de Bohême de Sankt-Joachimsthal. Vers la fin du Moyen Âge, on y découvrit une mine d'argent, ce qui permit de frapper une monnaie de ce métal, le joachimsthaler, vite abrégé en thaler. Au XVIe siècle, l’empereur Charles V d’Allemagne, également roi d’Espagne, avait incorporé les colonnes comme support dans les nouvelles armoiries d’Espagne, qui sont d’ailleurs encore utilisées aujourd’hui. Ces armoiries se sont donc retrouvées sur toutes les pièces hispano-américaines, monnaie qui a constitué, du XVIe au XIXe siècle, l’unité monétaire de référence mondiale, comparable au dollar américain d’aujourd’hui.

Le mot dollar est lui-même une déformation du mot thaler, la monnaie de Marie-Thérèse ayant été la première utilisée par les planteurs d'Amérique du nord. Les thaler ont donc traversé l'atlantique et en amérique du sud leur nom s'est transformé en tolars puis spanish pillars dollars ("dollars espagnols"). Sur les pièces 2 colonnes étaient dessinées. Pour écrire rapidement 100 spanish pillars dollars on écrivait 100 SII. Puis les Etats-Unis ont choisi le dollar, le mot spanish a disparu et le symbole SII est resté jusqu'à former $.

ricn41Le spanish pillar dollar ou le peso espagnol (littéralement, « poids ») est une pièce en argent qui a été utilisé dans tout l'empire espagnol après la réforme espagnole des devises en 1497. Son utilisation c’est répandue en Amériques et en Extrême-Orient, c'était presque une devise mondiale au 18ème siècle. Beaucoup de devises existantes, telles que le dollar canadien, le dollar des Etats-Unis et le yuan chinois, sont basés sur le dollar espagnol.
Grâce aux vastes gisements d'argent qui ont été trouvé au Mexique, et à l'argent des possessions de l'Espagne dans l'ensemble des Amériques, le Mexique et le Pérou ont également commencé à frapper la pièce de monnaie.
Des millions de dollars espagnols ont ainsi été frappées en plusieurs siècles. Ils sont parmi les pièces de monnaie le plus largement répandue pendant la période coloniale en Amérique, et étaient toujours en service en Amérique du nord et dans sud-est asiatique au 19ème siècle. Ils ont eu une valeur d'un dollar en circulant aux Etats-Unis.

L’origine de l'usage du S doublement barré (ricn42) aurait pour explication la représentation des deux piliers sur le Spanish pillar dollar. Selon la légende grecque, les colonnes d’Hercule se trouvaient au détroit de Gibraltar, l’entrée de la mer Méditerranée donnant sur l’Atlantique. Il y avait une colonne de chaque côté du détroit : l’une était sur le mont Calpé en Europe, et l’autre sur le mont Abyle en Afrique. Sur les banderoles qui entourent les colonnes en question était inscrite l’expression latine « PLUS ULTRA », ce qui veut dire : « plus loin » et rappelle que le royaume s'étend de chaque côté de la Méditerranée. Charles V avait également fait apposer deux globes, l’un représentant le Nouveau Monde (les Amériques) et le second, l’Ancien Monde (l’Europe).
ricn44La légende veut que ce soit Hercule, le héros de la mythologie latine, qui soit à l'origine de ces "colonnes" après avoir creusé le détroit qui unit l'Atlantique à la Méditerranée et sépare l'Europe de l'Afrique. Hercule ayant séparé les deux montagnes rocheuses, dressa les célèbres colonnes. Se croyant aux limites du monde, il y grava ces mots: "nec plus ultra" (plus rien au-delà).

Un des aspects essentiels de la Renaissance en tant que période est le renouvellement des thèmes et de l'art en Europe après le Moyen Âge. Alors qu'au Moyen Âge la création artistique était essentiellement tournée vers la religion chrétienne, la Renaissance artistique utilise les thèmes humanistes et de la mythologie antique. Grâce à l'arrivée des compilations et des artistes byzantins, chassés par l'invasion ottomane, Végèce, Pythagore, Euclide sont de nouveau disponibles dans leurs manuscrits grecs originaux. Les artistes de la Renaissance relisent les mythes de l'Antiquité païenne qui leur donnent de nouveaux sujets de production. Les formes de l'Antiquité reviennent à la mode : colonnes, pilastres, frontons, coupoles, statues décorent les édifices de cette époque. Il est donc logique que ce retour à l’art païen antique influence les artistes qui gravèrent les motifs sur le spanish pillars dollar. Les dieux peuvent à nouveau s’exposer dans les palais, les églises, les sculptures, les peintures et bien sûr la monnaie.

Les Colonnes d’Héraclès-Hercule au détroit de Gibraltar coïncident on l’a vu avec les Colonnes de Melqart : le dieu phénicien qui a été identifié à Héraclès. Melkart le grand dieu de Tyr, représenté par un pal puis par une colonne revient ainsi par le biais des doublons espagnoles sous la forme des deux colonnes de Gibraltar qui sont les copies des deux piliers du temple de Melqart à Tyr. Ainsi l’élégie du roi de Tyr devient contemporaine par une monnaie le dollar dont le symbole ricn43 reprend sous une forme simplifié la marque du dieu de Tyr. Sachant que par paire les colonne symbolise un passage, donc une porte, les deux colonnes peuvent également se lire comme le dieu de la porte, soit BABYLONE.

Satan peut donc apposer sa marque en toute impunité sur la monnaie de référence mondiale, sans que le monde se doute un seul instant qu’il se soumet au dieu du commerce tyrien. La forme primale du diable décrite dans la Bible étant le serpent, comprenons donc toute la porté que porte le signe du dollar.
Comme les bulles à calculi sumériennes étaient scellées par le sceau du propriétaire des marchandises qui circulaient à Sumer, ce sceau représentant souvent le dieu tutélaire de la ville du propriétaire ou de sa famille, ainsi aujourd’hui le sceau du dieu du commerce est apposé subtilement sur toutes les transactions internationales par le signe du dollar. L’empreinte spirituelle de la divinité du commerce est désormais imprimée avec force sur toutes les richesses échangées dans le monde. Le dollar étant la monnaie d’échange internationale, c’est sur le monde entier que le diable exerce sa domination, définissant désormais un Nouvel Ordre Mondial économique basé sur une expansion économique et financière sans fin. Mais la croissance économique sans fin, fait des hommes les esclaves d’un système, dont la ville devient le centre, la richesse, le pouvoir et la gloire le but ultime à atteindre.
C’est l’antithèse de la volonté de Dieu, qui appelle les hommes à se détourner des choses terrestres, rechercher l’humilité et la présence du Seigneur dans l’harmonie de la nature pour se mettre à Son service. Il faut bien comprendre une chose essentielle, Dieu nous appelle par la voix de Jésus-Christ à le rejoindre et nous unir à Lui comme une branche sauvage serait greffée sur l’Arbre de vie. C’est le sens du propos de l’apôtre Paul en Romains 11 : 24  Si toi, tu as été coupé de l’olivier naturellement sauvage, et enté contrairement à ta nature sur l’olivier franc, à plus forte raison eux seront-ils entés selon leur nature sur leur propre olivier.
25  Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne vous regardiez point comme sages, c’est qu’une partie d’Israël est tombée dans l’endurcissement, jusqu’à ce que la totalité des païens soit entrée.
Nous pouvons ici aborder le mystère dont parle Paul et qui consiste à être enté sur l’olivier franc, car nous sommes dans le cœur du sujet dont parle l’apôtre. Non seulement cela doit être dit, mais en plus crié sur les toits.
Matthieu 10 : 26  Ne les craignez donc point; car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. 27  Ce que je vous dis dans les ténèbres, dites-le en plein jour; et ce qui vous est dit à l’oreille, prêchez-le sur les toits.

Le langage divin est un langage spirituel où les choses ne sont pas dites, mais suggérées sous formes de signes, symboles ou métaphores révélés dans des songes, visions ou prophéties. Mais ce que l’Eternel fait avec son peuple, l’adversaire le fait également avec le sien, utilisant le même langage spirituel et les mêmes signes et symboles. Par exemple quand le Seigneur Jésus dit qu’Il est la porte ou l‘étoile du matin, il est certain que l’adversaire utilisera ces mêmes symboles pour les appliquer à sa propre personne. Les fils de Dieu qui vivent dans la proximité du Seigneur ont l’habitude de ces moyens de communications et comprennent le sens des énigmes car l’Esprit-Saint leur révèle la signification des symboles spirituels utilisés dans le langage divin et savent faire la part du vrai et du faux.

Dans le sujet qui nous intéresse dans cette étude il convient de séparer le vrai du faux en révélant la véritable origine du sens que l’on donne à un signe, comme celui du dollar par exemple. 
Nous avons vu comment le langage réticulaire a su trouver sa sémiologie propre en exprimant de la manière la plus simple qui soit les émotions d’une personne avec des smileys  par exemple. On peut donc en conclure qu’avec le symbole du dollar on peut exprimer bien plus qu’une valeur monétaire, démonstration :


$ ricn45 ricn46 ricn47


Le raccourci peut paraître rapide tant la chose paraît évidente vu de cette manière, ne nécessitant que peu de commentaires. Le symbole du dollar avec la double barre représente une porte, la porte du dieu, Babylone. Mais ramené à une simple barre c’est le dieu lui-même qui est représenté, sous sa forme première comme source de tous les dieux, le serpent. La barre verticale, symbolise une colonne, un bétyle, un pilier, un pieu ou simplement un arbre sacré. L’arbre de vie représente l’association de Dieu avec les hommes en ce qu’ils peuvent être entés sur l’olivier franc, Dieu fait homme en la personne de Jésus-Christ, et de son Epouse l’Eglise et Israël. L’olivier quand à lui symbolise l’huile qui elle-même représente l’Esprit-Saint, le feu qui éclaire notre lampe alimenté par l’huile sainte. C’est la semence de la femme décrite en Genèse 3 : 15  Je placerai l’inimitié entre toi et entre la femme, entre ta semence et entre sa semence.

Dans la mythologie du monde primitif, dit Owen, le serpent est universellement le symbole du soleil. En Égypte, l'un des symboles les plus communs du soleil ou du dieu soleil est un disque entouré d'un serpent. Voici croyons-nous, la raison première de cette identification : comme le soleil était la grande lumière du monde physique, ainsi le serpent était considéré comme la grande lumière du monde spirituel, qui donnait à l'humanité la connaissance du bien et du mal.
Ceci implique naturellement une affreuse dépravation de la part des meneurs dans un pareil système, si on considère l'époque où il commença ; mais c'est là, je le crois, le véritable sens de cette identification. En tout cas, nous avons des preuves scripturaires et profanes, pour établir que le culte du serpent commença en même temps que le culte du feu et du soleil. La déclaration inspirée de Paul sur cette question nous paraît décisive : "Ce fut, dit-il, quand les hommes connaissaient Dieu, mais qu'ils ne le glorifiaient pas comme Dieu, qu'ils changèrent la gloire de Dieu, non seulement en des images semblables à l'homme corruptible, mais en des images de bêtes rampantes, c'est-à-dire de serpents." (Romains I, 23
La symbolique du serpent a toujours été associée avec l’idée de la vie et de la mort, renouvelant chaque année sa jeunesse après sa mue comme une espèce de résurrection. Il représente à ceux qui voulaient une excuse pour leur idolâtrie, l’emblème exact du soleil, le grand régénérateur, qui chaque année régénère et renouvelle la nature, et qui une fois divinisé, fut adoré comme le grand régénérateur des âmes. L’astre brillant, la lumière du monde.
C'est ainsi que le soleil, le grand dieu du feu, était identifié avec le serpent. Mais il avait aussi un représentant humain, c'était Tammuz pour lequel les filles d'Israël se répandaient en lamentations, ou le dieu Melkart de Tyr et plus tard Apollon.

L’arbre associé au serpent représente une autre association, une autre semence donc, celle des hommes avec le diable, le serpent ancien. C’est la semence du serpent, la civilisation née par Caïn.
L’arbre, par le bois représente l’homme tiré du sol qui se verticalise, et qui en devenant grand s’élève vers la lumière. C’est le principe caché dans le nom même de Dieu, Elohim Myhla. Le mot hla qui forme la racine d’Elohim signifie le pronom "ces", donc une direction, l’Eternel, mais désigne également des "grands arbres". la , El est la racine qui désigne Dieu, et souligne l’origine divine des arbres. My , Im pouvant être compris comme un pluriel ou une dualité. Elohim pourrait donc signifier hla "ces" deux de Dieu. Les grands arbres du jardin d’Eden sont ceux d’Elohim My-hla, Adam et Eve, l’Epoux et l’Epouse, Christ et son Eglise, mais qui est l’arbre de la connaissance du bien et du mal ? Qui veut être comme Elohim ?
Comme Elohim se dit Kelohim en hébreu et représente la valeur numérique 666.
Myhlak 20+1+30+5+10+600=666
Kelohim, se traduit par ²comme Elohim² et pourrait donc se concevoir ainsi ²comme les grands arbres de Dieu².
L’homme tiré de la terre et qui voudrait s’élever vers le ciel pour se faire l’égale de Christ, donc de Dieu ne peut être qu’antéchrist, c’est la semence du serpent, un homme qui représente le diable sur terre. Tyr symbolise la richesse et l’Assyrie la grandeur et la force, avec comme image le cèdre du Liban. En Ezékiel 30 l’Eternel s’adresse à nouveau à satan en empruntant une nouvelle image à son encontre, celle d’un grand arbre, le cèdre.
Ezékiel 30 : 7 Il était beau par sa grandeur, par l'étendue de ses branches, Car ses racines plongeaient dans des eaux abondantes.
8 Les cèdres du jardin de Dieu ne le surpassaient point, Les cyprès n'égalaient point ses branches, Et les platanes n'étaient point comme ses rameaux; Aucun arbre du jardin de Dieu ne lui était comparable en beauté.
9 Je l'avais embelli par la multitude de ses branches, Et tous les arbres d'Eden, dans le jardin de Dieu, lui portaient envie.

ricn48…18 A qui ressembles-tu ainsi en gloire et en grandeur Parmi les arbres d'Eden? Tu seras précipité avec les arbres d'Eden Dans les profondeurs de la terre, Tu seras couché au milieu des incirconcis, Avec ceux qui ont péri par l'épée…
Voilà l’arbre précipité à terre dans le jardin d’Eden, le plus grand de tous les arbres, le cèdre du Liban (Phénicie). La sentence de l’Eternel est claire, égale à celle du roi de Tyr. L’homme qui s’associe au serpent ancien présent dans le jardin d’Eden pour se faire l’égale de Dieu se verra précipité dans les profondeurs de la terre, comme le diable qui fut chassé du ciel et précipité sur terre. Le serpent représentant l’image de l’abaissement, de la mort et du dépouillement. Il est présenté en Genèse comme le plus rusé des animaux, mais rusé se traduit aussi par nu, il est donc le plus nu des animaux, rabaissé jusqu’au sol et dépouillé de tout. Le diable ne peut retrouver un semblant de gloire et se redresser que s’il a un support, et ce support c’est l’homme. En séduisant Eve, le diable a trouvé un support pour se ²verticaliser², un corps qui de surcroît peut porter sa semence, son fruit, ce qui en fait le fruit du bien et du mal, Caïn, et l’association d’Eve et du serpent l’arbre du bien et du mal.
Projeté dans l’espace et le temps, Caïn est le père de la civilisation de Sumer et Eve le type de l’Epouse (Eglise) ou religion associé au serpent. hsa ishah, la femme ou l’épouse, démontre parfaitement son origine divine par le feu de l’Esprit qui brûle en elle, sa, esh, le feu. L’Epouse de Christ est le porteur du Feu de l’Esprit quand elle reste soumise à l’Epoux. Mais associé au serpent, c’est un autre feu qui brûle en elle, un feu charnel et séducteur issu du serpent et qui tire l’Epouse irrésistiblement vers le bas et la mort. Uni au serpent l’Epouse finit par faire corps avec lui et se retrouve également dépouillée de tout comme l’Eglise de Laodicée.
Apocalypse 3:14  Ecris à l’ange de l’Eglise de Laodicée: Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu:
15  Je connais tes oeuvres. Je sais que tu n’es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant!
16  Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche.
17  Parce que tu dis: Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu,
je te conseille d’acheter de moi de l’or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies.
19  Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime. Aie donc du zèle, et repens-toi.
Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.

L’Eglise de Laodicée est la septième Eglise, celle des derniers jours, c’est l’Epouse riche, mais pas des fruits de l’Esprit, des richesses de ce monde, celles qu’offre le diable à ceux qui se sont soumis à sa volonté. Une Eglise où Jésus n’est même plus présent, puisqu’Il est à la porte et qu’Il frappe pour entrer. Une Eglise riche, mais aussi nue que le serpent.

L’archétype de l’Eglise de Laodicée c’est la mégachurch américaine.

Une mega-church (mega-église), est associée au megabusiness qu’elles génèrent et où les pasteurs agissent souvent comme des cadres supérieurs aux tactiques identiques au monde des d'affaires, pour accroître leurs assemblées. Cette approche entreprenariale a contribué à la croissance explosive des megachurches, définis en tant qu'églises non-catholiques avec au moins 2.000 membres aux États-Unis.
Chorale géante, prières ferventes, prédication projetée sur écran plasma, leader charismatique gonflé à bloc, foules électrisées et messages venus du monde entier, sont le lot quotidien des megachurches. Il y a eu un quasi doublement du nombre des megachurches américaines en l’espace de cinq ans! Environ 650 en l’an 2000, elles sont passées à 1210 en 2005. Cette progression fulgurante est confirmée aussi par l’augmentation du nombre moyen des fidèles (3,585 fidèles pratiquants hebdomadaires en 2005, contre moins de 3,000 cinq ans plus tôt), et par l’évolution des finances, qui montre un enrichissement moyen assez spectaculaire. En seulement cinq années, le revenu moyen d’une megachurch américaine a augmenté d’un quart, pour atteindre les 6 millions de dollars annuels.

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La civilisation caïnite est urbaine. Bâtir une ville fut la première œuvre civilisatrice de la semence du serpent. Genèse 4:17  Caïn connut sa femme; elle conçut, et enfanta Hénoc. Il bâtit ensuite une ville, et il donna à cette ville le nom de son fils Hénoc.
Au terme  des jours les villes sont devenues des mégapoles dans lesquelles le commerce se développe sous la forme d’hypermarchés et dont les megachurches reprennent le concept et se développent rapidement dans les zones suburbaines américaines. Reprenant le model des hypers elles sont généralement près des bords de villes en expansion, facile d'accès, près des routes principales, et souvent dans la proximité immédiate d'autres megachurches. Les megachurches ressemblent à des centres commerciaux, offrant divers biens et services annexes comme les galeries commerciales des hypers. Les marchands du temple ne sont plus chassés par le Christ, c’est l’inverse, ils ont mis Jésus à la porte n’utilisant plus que Son nom, comme un produit d’appel pour leur lucratif business. Le culte est organisé comme un gigantesque spectacle avec des chœurs, orchestres, groupes de rock ou de jazz, de danses interprétatives, et de présentations visuelles, bref du show-biz. Le but de cette approche est de créer de nouvelles formes religieuses, pour refaire les traditions, ainsi elles sont acceptables et appropriées à une personne moderne qui avait été arrêté par la religion traditionnelle. Pour accomplir cela, les bâtiments des églises, reproduisent les structures journalières telles que des complexes de bureaux, écoles, entrepôts. Leurs sanctuaires sont habituellement des salles spacieuses, avec  des places confortable de théâtre, et un minimum de symboles religieux.
Pour la majorité des megachurches, l'affiliation dénominationnelle est une question insignifiante. L'église elle-même (sa taille, ses pasteurs, programmes, et réputation) attire des adhérents et non des fidèles de telle ou telle dénomination . En conséquence, presque la moitié de toutes les megachurches sont indépendantes et non confessionnelles avec un régime en assemblée qui donne une liberté considérable aux différentes églises et peuvent être vus comme fonctionnant de manière non confessionnelle. S'il y a un message commun partagé par tous les megachurches, c'est qu'elles veulent dépeindre ce qu'elles font comme plus essentielles que d'autres rassemblements, qui est d’une façon ou d'autre meilleur que le christianisme « ordinaire ». Une majorité accablante serait considérée comme évangélique et charismatique. La megachurch type tend manifestement à une forme d’autogestion, préférant de plus en plus le modèle de la grosse PME indépendante à celle d’une filiale de grand conglomérat religieux. Pour bien comprendre ce que cela veut dire une explication du renouveau charismatique à l’américaine, vu comme un nouveau réveil, doit être expliqué.

«Les pentecôtistes avaient été amenés à croire qu'une personne qui désirait recevoir le baptême du Saint-Esprit devait renoncer au style de vie mondain et adopter le code de Sainteté. Ils ont été complètement abasourdis par le renouveau charismatique. Voici des milliers de personnes qui recevaient le baptême du Saint-Esprit sans accepter le code de Sainteté; par exemple, des femmes portaient du maquillage et des talons hauts, et certaines personnes fumaient encore et buvaient, etc... Les pentecôtistes du début du mouvement ont reçu le baptême du Saint-Esprit parce qu'ils l'avaient désiré, ils avaient prié pour l'avoir et avaient la foi pour le recevoir, ce n'était pas parce qu'ils observaient leur code spécifique de Sainteté. Dieu bénit les croyants avec les dons de Son Esprit pas parce que leur théologie est parfaite mais parce qu'ils sont engagés envers Jésus.» Voilà le nouveau credo du renouveau charismatique.

Cette manière de voir les choses tourne le dos de manière manifeste à l’enseignement de l’évangile et de celui des apôtres, car il appelle à un engagement religieux sans changement de vie, ni repentance, à un christianisme sans conversion où les écritures sont bafouées et l’œuvre de Christ rendue caduc. Nous sommes là face une formidable séduction, car le renouveau charismatique est également suivit de puissants mouvements de réveils religieux comme ceux initiés aux Etats-Unis par Ruth Heflin et Bob Shattles. Dont les livres ²la gloire dans les réveils² ou ²feu & gloire dans le réveil² sont diffusés en français et présents dans la bibliothèque de nombreuses églises. De nombreuses manifestations miraculeuses, ainsi que de très nombreuses conversions y sont décrites. De prime abord cela semble formidable et merveilleux et peut toucher les cœurs les plus incrédules ou endurcis tant y est vanté avec force détails la manifestation de la puissance de l’Esprit. Parmi les manifestations les plus spectaculaires on retiendra une pluie d’or qui tombait pendant les réunions ou de l’huile qui suintait des mains des fidèles, présents (divin) qui appliqués sur des malades avaient un puissant pouvoir de guérison, voir menaient à des conversions.
Cependant il faut savoir ceci : Ruth Heflin est morte du cancer le 15 septembre 2000 et Bob Shattles le 18 juillet 2001 également du cancer. Car la poussière d'or est cancéreuse si vous avez été exposé pendant longtemps à elle. Ainsi Heflin et Shattles sont morts du cancer provoqué par la substance qu’ils considéraient comme étant un don de Dieu.

Avec les megachurches charismatiques accompagnées de puissants et trompeurs mouvements de réveils, nous entrons dans la prophétie annoncée en Matthieu 24:24  Car il s’élèvera de faux Christs et de faux prophètes; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s’il était possible, même les élus.
Miracles et prophéties en masses, mais ne venant pas de Jésus-Christ, c’est là un des signes les plus sérieux que sommes arrivé au terme des jours.
Libérées de toutes contraintes religieuses les megachurches agissent comme un vortex social, aspirant des foules considérables dans ces nouveaux temples de la séduction. Et ça marche ! Des centaines de megachurches poussent dans le Sunbell, la ceinture biblique du sud des Etats-Unis. On compte aujourd’hui 1000 megachurches dont le chiffre d’affaire annuel est de 5 millions de dollars. Les pasteurs se trouvent désormais à la tête de mega-commerces à gros bénéfices.

Kirbyjohn Caldwell -qui s'est signalé à l'attention des medias dans les années 1990 de par sa relation avec le Président Bush- dirige l'église de 15.000 membres Windsor Village United Methodist Church de Houston, Texas. Il a fondé Pyramid CDC ( Community Development Corporation ) et a transformé un vieux centre commercial en entreprise florissante incluant une banque, une clinique, une pharmacie, une école privée et des bureaux. Le secteur commerçant est propriété de l'église, il emploie 257 personnes et injecte plus de $14 millions par année dans l'économie locale. Pyramid CDC ( sa société) projette de construire des habitations sur un terrain de 234 acres.
Caldwell, Long et Jakes affirment que leur mission est de rendre la communauté noire plus forte, et non pas de s'enrichir eux-mêmes. Tous trois ont eu à se défendre contre des accusations comme celles qu'on trouve dans la Bible: "les changeurs n'ont pas leur place dans le temple de Dieu."
Aux accusations proférées contre eux, affirmant que créer des entreprises ne figure pas dans la Bible, Caldwell répond dans le magazine Black Enterprise: "La moitié des paraboles de l'Ancien et du Nouveau Testament se rapportent à l'argent. Nous nous référons, au 21e siècle, à ce que Jésus disait et faisait dans le Nouveau Testament."
Long qui a été critiqué dans l’Atlanta Journal-Constitution à cause de son salaire à 7 chiffres, de sa voiture à $350.000 et de sa maison à $1.4 millions, répond que ces critiques ne tiennent pas compte du rôle important que joue aujourd'hui une megachurch: celui de consolider les communautés urbaines dans un temps où les politiciens ont trahi ou ignoré les minorités.
Jakes, quant à lui, explique la motivation qui le pousse à exercer une activité basée sur la rentabilité: "Rendre plus fortes les minorités au niveau économique, c'est une part très importante de ma mission", a-t-il déclaré au magazine Black Enterprise.
Ces trois pasteurs ne sont pas les seuls prédicateurs aux Etats-Unis qui ont traduit leur appel en une montagne de dollars. Certains pasteurs blancs de megachurches comme Rick Warren et Joel Osteen ont également fait les grands titres lorsque leurs bénéfices sont parus dans la presse.
Que pensez-vous de ces pasteurs qui siègent à la tête d'une entreprise multimillionnaire à côté de leur ministère? Est-ce un modèle de pasteurs d'un nouveau type que nous devrions suivre? Ou bien est-ce un stratagème du diable pour conduire l'Eglise Américaine dans une autre époque de scandales financiers?
Je ne crois vraiment pas qu'un homme ou une femme qui ont été appelés au ministère doivent faire vœu de pauvreté. J'applaudis n'importe quel ministre d'église qui arrive à trouver une manière de créer la richesse pour rendre plus fortes les communautés désavantagées et j'admire ceux qui mettront sur pied des services sociaux fondés sur une base chrétienne.

Au travers des megachurches le serpent a trouvé son nouveau support pour s’élever en gloire et porter sa semence antéchrist. Le poids politique de ces assemblées dont l’influence touche des millions de personnes dans les lieux de culte ou au travers du télé-évangélisme, leur permet, ajouté à leur puissance financière, d’élire le candidat qui leur semble être le plus proche de leur cause, en l’occurrence G.  W. Bush. Après les présidents franc-maçons nous entrons dans une nouvelle ère apostate  ou l’Amérique  nous donne un président lucéférien. Il faut savoir que parallèlement à sa foi chrétienne, George W. Bush est membre des "Skull & Bones². Son père et son grand père faisaient déjà partie de cette organisation. Les membres sont formés dans le plus grand secret et toutes leurs activités sont menées secrètement. Sous son mandat, les scandales, mensonges, guerres deviennent une règle de conduite politique. Les libertés individuelles reculent sous prétexte de guerre contre terrorisme, menant doucement le pays vers une nouvelle forme de fascisme, dont la base doctrinale serait l’accumulation de richesses par une junte proche du président visant à l’hégémonie militaire mondiale. Comme pour souligner spirituellement mon propos le jour même où j’écris ces lignes voici ce que l’on a pu y lire sur G. W. Bush.
La loi votée par les deux chambres du Congrès des Etats-Unis fin septembre (H.R. 6166, 109th Congress, 2nd Session) (1), la Military Commissions Act « autorisant des procès confiés à des commissions militaires », formalise le tournant autoritaire de l’Etat américain en attribuant des pouvoirs exorbitants à l’exécutif et en légalisant l’arbitraire d’Etat, y compris la torture. Grâce à cette « loi tyrannique », selon l’expression du New York Times, l’exécutif obtient le droit « d’arrêter et de détenir indéfiniment sans espoir d’appel » les personnes définies par l’Etat comme des « ennemis combattants illégaux » ; de contourner les Conventions de Genève en définissant dans le secret les « méthodes d’interrogation » coercitives « autorisées » (par le président) ; de priver les détenus du droit d’habeas corpus (le socle du droit libéral anglo-saxon permettant aux détenus de contester leur arrestation devant un juge) et du droit de former un recours devant une juridiction civile ; et de présenter des éléments de preuve secrets obtenus par la coercition physique et morale (2).
Pour la très grande majorité des constitutionnalistes américains, il ne fait aucun doute que le système constitutionnel américain est fondamentalement remis en cause. « Nous sommes en train d’abandonner un système fondé sur la démocratie représentative pour dériver vers le césarisme », écrit le juriste Sanford Levinson.
L'Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) a lancé une charge sévère contre la Military Commissions Act estimant qu'elle était «une des pires mesures en matière de libertés civiles jamais promulguées dans l'histoire américaine».

Les attentats du 11 septembre ont fourni à G. W. Bush un prétexte pour porter le système politique à la limite de la dictature ouverte. Avec la mise en place du Patriot Act 1 et 2, suivit du Military Commissions Act , tous les acquis du mouvement des libertés civiques des années 60 et 70 sont en passe d’être perdus. L'appareil répressif et militaire a été démesurément renforcé, permettant la mise en place de la machine nécessaire à un régime fascisant, ouvrant une nouvelle ère sur le monde.

Project for the New American Century

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La monnaie exprimant dans les symboles qui la compose les valeurs et les croyances d’une nation, on pourrait la considérer comme l’expression visible de son âme.
En France, le triptyque républicain soude liberté égalité et fraternité. Ces trois valeurs sont indivisibles car aucune d'entre-elles ne peut être pensée isolément. La liberté n'a pas de limite en soi. Aussi doit-elle être, selon la tradition française, contrebalancée par l'égalité et la fraternité. Le modèle américain, quant à lui, privilégie la liberté. Cette liberté chérie ils la défendent de toute leur force, l’idéalisant jusqu’à l’idolâtrie, lui donnant une doctrine, le libéralisme et des adeptes, les libéraux. L'histoire du capitalisme se confond avec celle du libéralisme dans l’Amérique protestante, comme étant une œuvre de foi.

ricn411C'est dans le calvinisme que le capitalisme trouve sa véritable source selon Max Weber, auteur de ²L'Éthique protestante et l'esprit du capitalisme.² Selon Calvin, Dieu a de toute éternité destiné certains hommes au salut et condamné les autres à l'enfer (dogme du double décret ou de la prédestination). Le fidèle calviniste va alors chercher dans son activité professionnelle les signes de sa confirmation : la réussite dans la recherche des richesses lui semblera être le témoignage de son statut d'élu. Seuls, en effet, les élus peuvent avoir du succès dans l'activité que Dieu a donné à accomplir aux hommes pour sa plus grande gloire, c'est-à-dire dans le Beruf (la profession) comme vocation. Pour s'assurer de leur statut d'élu, les calvinistes vont ainsi transformer leur vie en une recherche méthodique des richesses dans le cadre de leur profession ; bien entendu, il est hors de question de transformer les richesses ainsi produites en luxe ou démonstrations ostensibles. C'est dans cette ascèse, centrée sur l'acquisition rationnelle de richesses, que le capitalisme trouvera selon Weber l'impulsion fondamentale à son essor.

Etre un libéral, c’est donc être un bon chrétien aux Etats-Unis. Cet idéal libertaire, l’Amérique en deviendra le symbole, comme cette photo-montage ci-contre l’explique si bien. "Liberty enlightening the World", la liberté éclairant le monde, symbolisée par la statue de la liberté, qui s’identifie aujourd’hui à l’Amérique elle-même. Ce grand symbole démontre ce en quoi les américains sont le plus attaché, la foi en Dieu développée dans le libéralisme. Si l’Amérique est riche c’est grâce à Dieu qui a béni ce pays, L’a rendu plus riche que n’importe quel pays au monde, en faisant un exemple à suivre. Le model économique américain et sa doctrine capitalistique doit donc être diffusé partout comme une lumière divine qui doit s’étendre sur toute la terre, créant ainsi un  nouvel ordre mondial, dont l’impérialisme américain sera le moteur et le dollar la monnaie. Ces valeurs essentielles exprimées  par ²in God we trust², en Dieu nous croyons, seront d’ailleurs gravées dans des dollars d’or et d’argent, le corps monétaire des dieux antiques, afin de bien montrer que l’ordre des choses a bien changé.

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A priori on est à une année lumière du roi de Tyr à ce niveau, n’est-ce pas ? Le symbole du dollar comme emblème du serpent ou des colonnes de Melkart semble battu en brèche. L’Amérique fait la démonstration que les valeurs chrétiennes ont définitivement renvoyé aux oubliettes les roi de Tyr ou de Babylone, ainsi que les symboles y étant rattachés. D’ailleurs le président ultra-libéral G. W. Bush en est le meilleur garant.
Lors de sa prestation de serment à l’investiture de son deuxième mandat, George W. Bush a prononcé la phrase la plus célèbre de la vie politique américaine, la main droite levée et l'autre posée sur la Bible: "Je jure solennellement de remplir fidèlement les fonctions de président des Etats-Unis, et de faire de mon mieux pour sauvegarder, protéger et défendre la Constitution des Etats-Unis." La formule, toujours la même, aussi vieille que la République américaine, est, en anglais, longue de 35 mots. Mais George Bush en a rajouté quatre "So help me God" (avec l'aide de Dieu).
Et son conseiller spirituel Billy Graham, le vétéran des évangélistes qui a accepté l'invitation du comité d'organisation de la cérémonie d'investiture du 55e président des Etats-Unis a conduit la prière lors du service de dédicace dans la Cathédrale Nationale pour la seconde investiture du président George W. Bush. Un évangéliste de cette stature ne peut être que le serviteur fidèle de Dieu.

Les bâtisseurs du Nouveau Monde font ainsi de l'antique nation d'Israël un guide et un modèle. Dieu leur a confié la mission de régénérer le monde et d'y préparer l'avènement du retour du Christ, d'y créer la fameuse "Cité sur la colline" qui inspira les Pères fondateurs. Dans cette "Nouvelle Jérusalem" (Washington) doit régner l'ordre divin.

Le président se montre reconnaissant envers le tout puissant : il ouvre chaque Conseil des ministres par une prière. David Frum, auteur du concept d'« axe du mal », nous explique qu'à la Maison Blanche, l'étude de la Bible, « si elle n'est pas obligatoire, n'est pas non plus facultative ». Sur la scène internationale, la foi religieuse du président a eu deux effets : d'une part susciter une alliance hors pair entre la droite chrétienne et le mouvement sioniste, faisant d'Ariel Sharon le plus proche allié des Etats Unis ; et d'autre part justifier la recherche d'une position de puissance incontestée, puisque les américains sont le peuple élu. Si le président Bush annonce que « la vocation de l'Amérique en tant que pays béni est de rendre le monde meilleur », c'est qu'il y croit.

La liberté comme valeur transcendante génère un nouveau paradigme économico-religieux dont les Etats-Unis d’Amérique sont les chantres incontestés. Cette valeur est gravée sur les dollars d’or et d’argent, sous la forme d’un soleil levant éclairant le monde précédé de la liberté éclairant le monde ou de l’aigle américain.

Mais de quoi se sont-ils ils inspirés pour graver ces monnaies ? D’où sont tirés ces symboles ? Répondre à ces questions revient à mettre en lumière l’esprit qui anime l’économie mondiale et pour cela nous avons besoin des lumières bibliques.

LA LUMIERE DU MONDE

 Esaï 14 :12 Te voilà tombé du ciel, Astre brillant, fils de l'aurore! Tu es abattu à terre, Toi, le vainqueur des nations! 13 Tu disais en ton cœur: Je monterai au ciel, J'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu; Je m'assiérai sur la montagne de l'assemblée, A l'extrémité du septentrion;
14 Je monterai sur le sommet des nues, Je serai semblable au Très-Haut.

Ce texte sur le roi de Babylone est relatif à satan et explique les causes de sa chute. La traduction française de Louis Segond ne restitue pas et loin sans faut, la profondeur des révélations faites dans ce texte. Seul le texte original en hébreu, avec ses rimes, double sens, allusions, racines du mot, etc, est en mesure de le faire.

Le vrai nom biblique de satan avant sa chute est traduit couramment par "astre brillant fils de l’aube"
rxS Nb llyh (hélél bén shakhar) - nom de satan avant sa chute.



llyh helel, traduit par briller llh signifie aussi célébrer, louer ou vanter, il semble donc indiquer le chérubin avait reçu de Dieu la vocation de le louer, par des poèmes, le chant et la musique. Comme indiqué dans le verset 11 Il fait descendre ton génie au Shéol, le lyrisme de tes harpes. Ezékiel 28 : 13 …L’or ouvragé de tes tambours, de tes fifres. La musique et le chant semblent être le violon d’ingre du diable.
Cette "voix" qui loua et célébra un temps le nom de l’Eternel, devait aussi être celle de son héraut. Au Moyen Âge, le héraut était l’officier dont la fonction était de transmettre les messages, les déclarations du roi, les sommations, de régler les cérémonies et les jeux. Le héraut annonçait également la venue du roi ou de quelqu’un qui venait se présenter au roi. Il précédait donc toujours le roi pour prévenir l’assemblée de son arrivé.
Le fils de l’aube est donc le héraut, le messager, l’ange (mal’ak en hébreu) de l’Eternel. Celui qui proclame, qui crie ou « hurle », le nom de l’Eternel. Cette haute fonction fut préservée et donnée à un autre après la chute de satan, comme l’atteste Apocalypse 7 : 2.
Apocalypse 7:2 Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant; il cria d'une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer.
llyh helel n’est donc pas une forme construite à partir de la racine llh briller.
llyh helel doit donc être lu d’une manière strict lly :h le hurlement, le cri d’une voix forte, car lly signifie le hurlement. Le cri d’une voix forte, le hurlement qui annonce la venue du roi des rois, le soleil de justice, le Messie d’Israël.
rxS Nb llyh (hélél bén shakhar) est donc pour moi, la voix qui annonce la venue du Roi, le cri du fils de l’aube, qui annonce la lumière du soleil.
Traduire helel par astre brillant est donc à mon sens totalement inexacte, surtout si l’on complète le nom de satan par "fils de l’aurore", comme souvent c’est le cas, alors que c’est de l’aube dont le texte fait mention.
Car l’aube est une lumière pâle et diffuse qui n’a rien de brillante. Je suis légitimement en droit de m’interroger sur l’adjonction de cet adjectif qui n’a rien à faire ici, il semble donner encore plus de relief au mot "helel" traduit injustement par astre brillant.
La racine rxS (shakhar) donnée pour "l'aube" est au contraire la même que la racine rxS (shakhor) qui veut dire "noir" !
Car l'aube désigne en fait la fin de la nuit et le début du jour naissant. L'aube est le reste de la nuit, elle annonce le lever du soleil.
Fils de l’aube, ben shakhar. rxS Nb
Concernant ce nom, « fils de l’aube », il convient de démonter une incroyable supercherie initiée à l’origine par l’église catholique romaine qui tient absolument à en faire un porteur de lumière. Les catholiques ont traduit directement de l’hébreu au latin, ben shakhar en "fils de l’aurore" et par analogie en "étoile du matin", puis par contraction en Lucifer.
L’étymologie de Lucifer en latin est, lux (lumière) dont le génitif lucis est accolé à ferre (qui veut dire porter en latin), soit luciferre qui donne ce nouvel éponyme. La traduction française est, portant lumière ou porteur de lumière pour le mot d’origine du septante en grec «phosphoros ». Satan par ce subterfuge devient un porteur de lumière, gardien de l’arbre de la connaissance du bien et du mal.
Ceci est dénoncé par Jésus-Christ dans l’Apocalypse 1 : 18 avec la lettre écrite à l’ange de Thyatire.
Dans la lettre à Thyatire le Seigneur joue avec les symboles et la sémantique des mots, ce qui cache comme toujours aux religieux le vrai sens du propos de Dieu qui ne s’adresse qu’à ses Fils, et eux seuls !
Le cœur de la lettre à Thyatire dénonce, la prostitution de Jézabel, fille de Tyr. Voyons cela ensemble.
Chaque lettre à une église correspond à un âge du christianisme, celui de Thyatire est le Moyen-Age de l’an 600 à 1500, surnommé aussi l’âge des ténèbres, c’est l’âge du catholicisme roi. On y retrouve le mot qui signifie ”constellation” et le verbe dont le sens dérivé, plus récent, est ”sacrifier”. L’étymologie de ce mot serait donc sacrifié aux étoiles, aux idoles. Vénus ou Astarté. Nom qui se trouve être en parfaite opposition avec la fin de la lettre qui dit au verset 1:28 Et je lui donnerai l'étoile du matin. Le verset 28 doit être relier aux deux versets précédents pour retrouver tout son sens. ²A celui qui vaincra, je donnerai autorité sur les nations, ainsi que moi-même j'en ai reçu le pouvoir de mon Père, je lui donnerai l'étoile du matin.² L’étoile du matin est donc l’image de la restauration de l’autorité royale, symbolisé par le soleil pourpre qui se lève tôt le matin juste avant que ne vienne la pleine lumière du jour, et que l’on nomme « L’aurore ». Malachie 2 : 4 2 Mais pour vous qui craignez mon nom, se lèvera Le soleil de la justice, Et la guérison sera sous ses ailes; Vous sortirez, et vous sauterez comme les veaux d'une étable.
L’étoile pourpre, symbole d’autorité sur les nations est l’apanage du Fils de Dieu, le Seigneur Jésus-Christ, l’oint de Dieu et Messie d’Israël, lumière du monde et roi des rois. Apocalypse 22:16 Moi, Jésus, j'ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Eglises. Je suis le rejeton et la postérité de David, l'étoile brillante du matin.
Mais jamais satan n’a été un porteur de lumière, ni jamais satan n’a été prénommé Lucifer dans la bible, ni appelé étoile du matin ou nommé fils de l’aurore. Le seul fait d’avoir créé de toute pièce ce nom est un blasphème à l’encontre de Jésus-Christ. Lucifer est un nom blasphématoire à bannir du vocabulaire des chrétiens, le prononcer ou l’écrire reviendrait en fait à ne plus dire satan, mais « Seigneur satan ».
Satan n’était que rxS Nb llyh "fils de l’aube", l’aube qui est la lueur pâle et diffuse qui précède l’aurore. Cela signifie que le chérubin est créé juste avant que se lève le soleil de justice, qu’il doit servir et protéger.

L’Eglise Catholique romaine, héritière et conservatrice des traditions babyloniennes, à donc traduit dans l’esprit qui est le sien le propos de Dieu dans un sens qui tord la vérité initiale jusqu’à en donner une définition totalement contraire à l’initiale. « Te voilà tombé du ciel, Astre brillant, fils de l'aurore », devient donc après la traduction catholique, « te voilà comme l’Eternel, porteur de lumière tel l’étoile du matin ». Il va sans dire que ceci est un blasphème contre le nom de Jésus-Christ et l’autorité divine. Mais comme l’idée est maintenant émise elle sera reprise par les Francs-Maçon américains qui sont à l’autorité politique ce que l’Eglise Catholique est à l’autorité religieuse dans le monde occidental et ils la graveront dans l’or et l’argent de leur monnaie, le dollar !

Origine de la représentation symbolique sur les pièces d’or et d’argent.

Tout d’abord le soleil levant, omniprésent sur beaucoup de monnaie est le fond de la gravure, mais également le fondement idéologique de la symbolique païenne  et blasphématoire de ces représentions. Dans la Bible le soleil du matin est le symbole du Fils de Dieu régnant en gloire, mais devient pour les fils de la perdition rxS Nb, ben shakhar, le fils de l’aurore, LUCIFER. C’est la signification symbolique du soleil gravé sur toute les  monnaies du monde, dont le dollar. C’est le sceau du dieu de ce monde qui imprime sa marque sur l’or, le corps des dieux antiques.

Que représente alors l’image d’une femme souvent représentée sur les monnaies ? La liberté comme on veut nous le faire croire, la république, la justice ou la prospérité, etc… ? Là encore seule la Parole de Dieu, la Bible, peut nous éclairer.
Comment rxS Nb llyh l’astre brillant fils de l’aube devient une fille de la nuit tylyl.
Esaï 14 : 14 Je monterai sur le sommet des nues, Je serai semblable au Très-Haut.
Par un jeu de mot, llyh le brillant devient lyl h la nuit. Celui qui voulait être comme Elohim, kelohim, sera dépouillée de tout. Plus de position élevée, plus d’honneur, plus de lumière, plus d’amour, plus de bijoux ni de vêtements, Rien, il sera désormais précipité à terre, dépouillé de tout et nu comme un serpent !
ricn417Son infidélité et sa nudité vont changer son statut et son nom va changer pour devenir rxS tb ylyl h les nuits de la fille qui devient noir, rxS tylyl la fille des nuits, (celle qu’on vient) rechercher, c’est l’image de la prostituée, celle qui est toujours couchée et nue comme un serpent. N’ayant pour seule existence, que la nuit. tylyl LILITH, La putain de la nuit, la prostituée qui hante la nuit des nations, la belle de nuit, la vierge noire. Ton amour si tu le veux, tu devras l’acheter, comme une simple prostituée, une fille de la nuit.
Ton nom satan, sera désormais Lilith tylyl, et la nuit ton domaine, les profondeurs de la terre ta demeure.
Voilà pourquoi j’écris  toujours satan avec une minuscule, car pour moi c’est le nom commun de la traduction hébraïque du mot adversaire, le nom propre du diable ne pouvant être que révélé au travers de la Parole de Dieu.
La représentation féminine sur les pièces de monnaie n’est donc rien d’autre que la représentation du diable comme étant la reine du ciel. Cette représentation est encore plus explicite sur le pesos en or où le chérubin déchu est simplement représenté sous sa forme originale d’ange nu²e² mais représentant la victoire. Encore une image trompeuse !
 
ricn418Mais la femme est rarement représentée seule sur les pièces, elle porte souvent quelque chose. Dans le cas de la pièce de 20 dollars en or, elle porte une torche et une branche d’olivier.
Pour la torche la symbolique est aussi évidente que le nez au milieu du visage, car elle en fait d’évidence un porteur de lumière, dont l’étymologie en latin est ²lucifer². Le nom blasphématoire du diable.

Pour la branche d’olivier c’est plus subtil.
Christ signifie «oint» de l'Esprit de Dieu. Jésus est l'oint de Dieu d'une manière unique et il est constitué «Christ» par l'Esprit Saint. Christ est la traduction française du mot hébreu Maschiach, Messie, dont le nom de Christ (Christos) est la traduction grecque. Mashiah, c’est être oint de Dieu.
L'onction d'huile représente la communication des forces divines dont les rois et prophètes d'Israël devaient être revêtus, pour remplir leur mandat au nom de l'Éternel.
Jésus-Christ, l’Oint de Dieu, le Messie, possède la plénitude des dons figurés par cette onction. Dieu l'a oint du Saint-Esprit et de force. (Actes 10.38). Les rois d'Israël ou certains prophètes étaient sacrés par une onction d'huile, ils étaient choisis par Dieu, bénis, marqués par l'onction, on demandait qu'ils soient remplis d'Esprit Saint pour accomplir leur mission. Samuel prit la fiole et la répandit sur la tête de Saul et lui dit: «Yahvé t'a oint comme chef sur son héritage» (1 S 10,1). Plusieurs textes nous présentent l'utilisation de l'huile en abondance: «C'est une huile excellente sur la tête qui descend sur la barbe d'Aaron, sur le col de sa tunique» (Ps 133,2). «Dieu t'a donné l'onction d'une huile d'allégresse, la myrrhe et l'aloès coulent de tes habits» (Ps 45,8-9). Cette huile qui coule en abondance, c'est la bénédiction que Dieu déverse sur son peuple. Même les apôtres utilisaient ce rite pour envoyer quelqu'un en mission. Les chrétiens sont donc par définition un peuple oint, élu, choisit par Dieu pour porter Son Esprit-Saint. "
Si le bénéfice de l'élection est étendu en vertu de la souveraine liberté de Dieu, Israël demeure toujours la racine, l'olivier franc sur lequel l'olivier sauvage a été enté. Il demeure les prémices et reste chargé d'un honneur et d'une responsabilité unique. Le peuple de Dieu n'est plus désormais limité à Israël, mais il est porté par Israël. L'auteur de la lettre aux Ephésiens compare les païens devenus chrétiens à des étrangers et des gens du dehors qui ont eu le privilège d'entrer dans la maison des saints, c'est-à-dire d'avoir part aux promesses d'Israël.

... tes fils seront comme des plants d'olivier autour de la table". (Psaumes 128 : 3). L’olivier représente donc le peuple élu de Dieu, couvert par Son Esprit. C’est la semence de la femme décrite en Genèse 3 : 15  Je placerai l’inimitié entre toi et entre la femme, entre ta semence et entre sa semence.

L’olivier est donc une autre image de l’Arbre de vie. 

Associer cette image à Lilith sur le dollar en or, revient à représenter le serpent tenant sa semence, soit l’arbre de la connaissance du bien et du mal et nous retrouvons le symbole d’origine du dollar "$".

La monnaie frappée est donc restée au travers du temps la langue des choses visibles, marquée du sceau de son propriétaire elle exprime sa foi et les valeurs spirituelles auxquelles il est attaché. Frapper une pièce de monnaie à la gloire de Lucifer représente donc bien plus que l’émission d’une simple pièce d’or par la banque centrale.
Mais pour influencer d’une manière si occulte la gravure d’une monnaie, qui reflète rappelons les valeurs d’une nation, il faut un instrument de pouvoir ayant l’autorité pour imposer le sceau de l’occulte sur les valeurs transcendantes de la nation. Ce pouvoir décisionnaire occulte, vient des Franc-Maçon.

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