La menorah

LETTRES BREVES A L'EPOUSE

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LES JEUX OLYMPIQUES

Le nid de l'oiseau ou du dragon…

Origine des jeux

Les jeux étaient profondément liés au religieux et le fait qu’ils n’aient pas été annulés une seule fois en plus de mille ans montre leur caractère sacré!» La victoire n’avait pas du tout le même sens. Si aujourd’hui, il s’agit de s’améliorer sans cesse, de gagner du temps, la victoire antique avait une autre portée: «Gagner signifiait avoir obtenu la grâce des dieux, la victoire était en quelque sorte parrainée par les dieux et le joueur vainqueur devenait un héros, au sens mythologique du terme.» D’ailleurs, point de deuxième ou de troisième vainqueurs. Un seul homme pouvait être soutenu par les dieux. En guise de récompense, une simple couronne d’olivier suffisait, l’essentiel étant ailleurs…

Au 9° siècle avant l'ère chrétienne, le roi d'Elide Iphitos dut se résoudre à demander à la grande prêtresse, le moyen de débarrasser son pays de la peste. La Pythie lui répondit que les dieux interviendraient favorablement, s'il établissait les Jeux Olympiques en leur honneur. Aussi Iphitos dut-il conclure un traité avec Sparte, déclarant Olympie inviolable durant les Jeux sacrés. C'est donc entre le fleuve Alphée et le mont Kronion que furent remportées de 776 avant J.-C. jusqu'à 393 après J.-C., soit pendant plus de onze siècles, les victoires les plus éclatantes de l'Antiquité. Se déroulant tous les quatre ans, ces Jeux devaient en effet se développer très rapidement par l'adjonction de nouvelles disciplines et la participation de plus en plus massive des représentants des autres cités grecques.

 

Olympie se trouve en Élide. Ce n'était pas une ville mais un sanctuaire. Lieu consacré aux dieux, qui n'appartenait donc à aucune nation. Ce lieu boisé et verdoyant (ce qui est plutôt rare en Grèce) porte le nom d'Altis : Ἀλτις, : bois, et plus particulièrement, bois sacré. À l'origine, l'Altis possédait un temple en l'honneur de la déesse Héra. Entre -468 et -457, les Grecs bâtissent un temple en l'honneur de Zeus, le dieu des dieux. Une vingtaine d'années plus tard, le sculpteur Phidias  termine la statue colossale de Zeus, d'or et d'ivoire, érigée à l'intérieur du temple. C'est l'une des 7 merveilles du monde.

.La première journée se déroulait dans l'enceinte sacrée, dans laquelle se dressait, imposante, la masse d'or et d'ivoire du temple de Zeus et quatre-vingts autels devant lesquels s'amoncelaient les trésors offerts aux dieux par les citoyens grecs.
Après ces cérémonies religieuses consacrées aux cantiques et aux prières, le cortège empruntait, dès l'aurore, le lendemain, la direction du stade ; les dix magistrats ouvraient ce défilé, suivis des députations et des concurrents A l'issue de l'appel de chaque engagé, se déroulaient les premières courses.

Le berceau de la philosophie grecque n’était pas en Grèce, mais en Asie Mineur, qui est maintenant la Turquie occidentale. Cette Province était considéré comme la partie la plus cultivée et la ville la plus admirée de cette province était Pergame. C’était un centre culturel avec beaucoup de temples, dont les deux principaux, Zeus et Athéna protectrice de Pergame. Un très grand temple était celui de Zeus avec le plus grand autel du monde. Sur cet autel aussi des sacrifices humains étaient sacrifiés. Des croyants y sont morts comme martyrs. Le fait que Jésus lui-même indique à deux reprises que satan habite/habitait à Pergame signifie que nous pouvons accepter que Zeus est un nom caché pour satan. Cet autel se trouve maintenant à Berlin. Apocalypse 2 : 12  Ecris à l’ange de l’Eglise de Pergame: Voici ce que dit celui qui a l’épée aiguë, à deux tranchants: 13  Je sais où tu demeures, je sais que là est le trône de Satan.

Les Jeux étaient des festivals religieux païen à l’honneur de Zeus et donc de satan !

 

La Flamme Olympique

Le Relais de la Flamme Olympique fait passer d’un coureur à l’autre la Torche qui partant d’Olympie (Grèce) achève son parcours au stade de la ville hôte des Jeux.
La cérémonie de l’allumage de la flamme se tient à l’ancienne Olympie. Lors d’un rituel interprété selon la tradition, la Grande Prêtresse reçoit la Flamme s’embrasant aux rayons solaires reflétés par un miroir concave. La flamme olympique ne peut être allumée que de cette façon. Le 25 Mars 2004 une actrice dans le rôle de prêtresse de Héra chantait au »dieu du soleil », Apollo : « Apollo dieu du soleil et de l’idée de lumière, envoie tes rayons et allume le saint flambeau pour la ville accueillante d’Athènes ». Par Apollon qui représente le « FILS » symbolisé par le feu solaire et porté jusqu’à l’autel de la « VIERGE » (hera), nous retrouvons ici les bases de la puissance spirituelle satanique représentée par la mère divine et l’enfant qui se mettent en opposition direct avec Jésus (soleil de justice) et le Père céleste.
Fausse représentation en fait, car à l’époque, les femmes n’avaient même pas accès à Olympie! Mais l’important n’étant pas dans la vérité mais le rite !

Bénie, la flamme est placée dans une urne et transportée dans le stade antique où elle est remise au premier relayeur par la grande prêtresse chargée de cette opération.
Ce processus est effectué plusieurs mois avant l’ouverture des Jeux pour permettre au relais de la flamme de se faire jusqu’à la ville hôte.

L’exemple classique du feu brûlant perpétuellement devant une déesse vierge est celui du culte de Hestia-Vesta, qui représentait, chez les Grecs et les Romains, la divinité du foyer.

L'origine divine du feu en fait un élément sacré et les Grecs avaient pour habitude de faire brûler un feu en permanence devant les principaux temples. La pureté de ce feu était garantie par la technique d'allumage : la flamme était obtenue par les rayons du soleil captés au centre d'un récipient appelé skaphia, (l'ancêtre du miroir parabolique utilisé aujourd'hui pour l'allumage de la flamme olympique). Au sanctuaire d'Olympie, là où se déroulaient les Jeux Olympiques de l'Antiquité, une flamme brûlait en permanence sur l'autel de la déesse Hestia situé dans le Prytanée (bâtiment utilisé pour les grands banquets offerts aux athlètes à la fin des Jeux). Obtenu également par la chaleur des rayons solaires, ce feu servait à allumer les autres feux du sanctuaire.

Les Grecs commençaient et finissaient tous leurs sacrifices par honorer Vesta, et l'invoquaient la première, avant tous les autres dieux. À Rome, ainsi que chez les Grecs, Vesta, la vierge, n'avait d'autre image ou d'autre symbole que le feu sacré. Une des manières de la représenter était en habit de matrone, vêtue de la stola, tenant de la main droite un flambeau ou une lampe. Je rappelle que la traduction latine de Lucifer est le « porteur de lumière ».

Le timing de la stratégie derrière les Jeux Olympiques.

Maintenant que le temps de l’accomplissement de toutes choses s’approche, satan travaillera dur pour éviter que l’évangile porte du fruit dans le monde, et il essaiera de garder lier les humains, les pays et les villes à lui. (Lien = alliance). Il se réclame ainsi des droits des vieilles alliances qui étaient jadis conclu avec lui. Il veut aussi que des alliances soient renouvelées, avec la même sorte d’actions rituelles qui étaient utilisées pour la première alliance….par exemple l’hymne olympique (Début : Esprit antique et éternel, créateur auguste de la beauté, de la grandeur et de la vérité Descends ici, parais, brille comme l'éclair, Dans la gloire de la terre et de ton ciel.
 dernière phrase : Dans Ta lumière resplendissent plaines, montagnes et mers dans la lumière rouge du soir et forment un temple énorme vers lequel se pressent toutes les nations pour t’adorer, o esprit immortel de jadis.) C’est un hymne qui invoque les puissances (démoniaques) pour habiter et prendre âme dans les Jeux.
Et si les gens par la télévision laissent entrer cette « prière » dans leur maison, par cela encore plus de ténèbres se répandront sur les nations et leurs habitants.

Les origines de la flamme olympique
Le Relais de la Flamme Olympique n’est pas originaire de la Grèce antique, ni même du 19ème siècle, lorsque le mouvement Olympique a été ravivé. L’ensemble du rituel, avec ses connotations païennes, a été conçu par un Allemand, le Dr Carl Diem, qui organisa les Jeux de Berlin en 1936.
Bien qu’il ne fût pas Nazi et qu’il ait été nommé pour organiser les Jeux avant l’arrivée au pouvoir des Nazis, Diem s’est très rapidement adapté au nouveau régime et termina la guerre comme chef militaire fanatique, exhortant les adolescents allemands à mourir comme des Spartiates plutôt que d’accepter la défaite. Des milliers le firent, mais pas Diem, qui vécut jusqu’à 80 ans.
Il vendit à Josef Goebbels - en charge de la couverture médiatique des Jeux - l’idée selon laquelle 3.422 jeunes coureurs aryens devraient porter des torches en feu le long d’un trajet de 3.422 km, depuis le Temple d’Héra sur le Mont Olympe jusqu’au stade de Berlin.
Ce fut son idée que la flamme soit allumée sous la supervision d’une Grande Prêtresse, utilisant des miroirs pour concentrer les rayons du soleil, et qu’elle passe de torche en torche tout au long du trajet, afin que lorsqu’elle arrive à Berlin elle ait une pureté quasi-sacrée. Il était difficile que ce concept ne plaise pas aux Nazis, qui adoraient la mythologie païenne et voyaient la Grèce antique comme l’ancêtre aryen du Troisième Reich. Les Grecs anciens croyaient que le feu était d’origine divine et ils maintenaient des flammes perpétuellement allumées dans leurs temples.
À Olympie, où les jeux antiques se déroulaient, la flamme brûlait en permanence sur l’autel de la déesse Hestia. À Athènes, les athlètes avaient l’habitude de faire des courses de relais transportant des torches enflammées, en l’honneur de certains dieux.
Mais les Jeux antiques étaient proclamés par des messagers portant des couronnes d’olivier, un symbole de la trêve sacrée qui garantissait que les athlètes pouvaient voyager vers et depuis Olympie en sécurité. Avant Hitler, il n’y avait pas de relais de torches associé aux Jeux antiques.
Le parcours depuis Olympie jusqu’à Berlin passa comme par hasard par la Bulgarie, la Yougoslavie, la Hongrie, l’Autriche et la Tchécoslovaquie - des pays où les Nazis voulaient étendre leur influence. Tous ces pays allaient bientôt être sous occupation militaire allemande. En Hongrie, la flamme reçut la sérénade de musiciens tziganes qui seraient plus tard rassemblés et envoyés dans les camps de la mort.

Les Jeux Olympiques de 1936 étaient un cadeau tombé du ciel pour le parti national socialiste, qui venait de prendre le pouvoir en Allemagne. Une vitrine rêvée pour les thèses nazies.
Hitler s'est enthousiasmé pour les Jeux Olympiques. Son gouvernement a investi 20 millions de marks (une somme énorme) pour les Jeux Olympiques de Berlin. Il a ordonné la construction d’un stade pouvant contenir cent mille personnes. Il voulait que les Jeux Olympiques de Berlin soient un grand spectacle et dépassent en taille tous les Jeux Olympiques précédents. Goebbels a dit : ‘’ La seule tache des sports allemands est de renforcer le caractère des allemands.’’ Ce à quoi, il se référait était, bien sur, la pure race allemande. Dans les affiches des sports Nazis, on demandait aux artistes de montrer la virilité et la force héroïque de la race Aryenne.

 

Les médailles olympiques.

La première médaille des jeux modernes contient le portrait de Zeus tenant dans sa main un globe surmonté de la victoire ailée avec la légende en grec "Olympie". Le revers contient le site de l'Acropole avec la légende en grec "Jeux Olympiques Internationaux à Athènes en 1896".


La principale caractéristique des médailles, dont l'avers est modifié pour la première fois depuis les Jeux Olympiques d'Amsterdam en 1928, est le caractère grec des deux faces. L'événement revêt une importance tout à fait particulière puisque toutes les médailles olympiques porteront désormais la marque de l'appartenance des Jeux à la Grèce, pays de leur naissance et de leur renaissance. Sur les médailles remises aux athlètes olympiques à partir de 1928, et jusqu'aux Jeux de Sydney, la déesse Niké apparaissait en position assise, des épis dans une main et une couronne dans l'autre. Ici, elle arrive dans le stade en volant pour apporter la victoire au meilleur athlète.
 

Nouvelle ébauche pour la médaille 2004: d’un côté nous voyons la déesse Nike descendre dans le stade où en 1896 les Jeux ont pour la première fois eu lieu de nouveau, pendant qu’elle emmène la victoire que les dieux ont attribué à ce vainqueur. En grecque sur l’autre côté : « O Mère des compétitions, couronnée avec des lauriers d’or, Olympia, reine de la vérité » .La 8e ligne de l’Ode Olympique du poète Pindare écrit en 460 avant Chr. Cela continue :  « où, par la mise à l’épreuve par le moyen des sacrifices, augures cherchant à connaître la volonté de Zeus, éclair lancent, et demandant s’il a un message à donner aux hommes qui cherchent du fond de leur cœur à conquérir le grand honneur pour des action héroïques , et une pause de leur durs labeurs,… » Contre l’arrière plan de ce texte grecque le nom est gravé du vainqueur de la médaille. [Quel chrétien pourra porter une telle médaille !]

La Bible nous instruit clairement comment agir concernant des fêtes païennes et festivals religieux. Exode 22:20  Celui qui offre des sacrifices à d’autres dieux qu’à l’Eternel seul sera voué à l’extermination.
Exode 23:13  Vous observerez tout ce que je vous ai dit, et vous ne prononcerez point le nom d’autres dieux: qu’on ne l’entende point sortir de votre bouche.
Exode 23:24  Tu ne te prosterneras point devant leurs dieux, et tu ne les serviras point; tu n’imiteras point ces peuples dans leur conduite, mais tu les détruiras, et tu briseras leurs statues.
Exode 23:32  Tu ne feras point d’alliance avec eux, ni avec leurs dieux.
Dans Corinthiens 10:14  C’est pourquoi, mes bien-aimés, fuyez l’idolâtrie.19 Que dis-je donc? Que la viande sacrifiée aux idoles est quelque chose, ou qu’une idole est quelque chose? Nullement.
20  Je dis que ce qu’on sacrifie, on le sacrifie à des démons, et non à Dieu; or, je ne veux pas que vous soyez en communion avec les démons.



Schoenel - 21 août 2008

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